LES AMÉRIQUES décembre 13, 2010 Haïti René Préval tente de voler une élection
À la suite de la fraude électorale présidentielle, de violentes manifestations éclatent à Port-au-Prince. Où est Hillary Clinton?
En O'GRADY ANASTASIA MARY
En un instant, la semaine dernière lorsque les Haïtiens ont du mal à surmonter encore un autre malheur, cette fois une élection frauduleuse-Département d'Etat américain
L 'honcho top pour la région, Arturo Valenzuela, Mettre son énergie ailleurs. Il est allé à Tegucigalpa, où il a passé deux jours à essayer de forcer le gouvernement du Honduras à abandonner les charges pénales à l'encontre président déchu Manuel Zelaya.
Bizarre priorités en Amérique latine ne sont pas nouveaux pour l'administration Obama. Mais celui-ci prend le bol de riz. Haïti est, pour toutes fins utiles, une dépendance des États-Unis, entretenue par l'aide américaine.
Pourtant, le Président René Préval semble considérer la fraude électorale comme un droit. Quand la nation a éclaté en protestation violente au cours des 28 novembre fiasco, ses alliés murmura des menaces de guerre civile.
Ce que M. Valenzuela aller à Port-au-Prince pour lire le président de la Loi sur les émeutes? Nope. Le voyage au Honduras a été jugé plus important.
Le mot «misérable» ne s'approche pas à décrire la vie haïtienne depuis le tremblement de terre dévastateur Janvier.Onze mois plus tard, il n'y a aucun signe de même modeste reprise. Les familles déplacées vivent encore dans des tentes et le choléra a fait plus de 2.000 vies.
La population a fait preuve de patience quasi-sainte et la résistance stoïque, mais il a également pris note de la piètre performance de M. Préval. L'élection présidentielle devait être sa chance pour changer de chevaux.
M. Préval et ses acolytes avaient d'autres idées, et pour une bonne raison. La corruption du gouvernement est légendaire. Il commence dans le port (comme je l'ai décrit dans «Who Cares About Haïti?" Le 22 novembre), lorsque les marchandises entrent dans le pays, et qu'il tombe en cascade dans toute l'économie. Sources me dire que la règle de base est une réduction de 20%. La communauté internationale a promis 5 milliards de dollars en aide à la reconstruction. Vous faites le calcul.
corruption haïtienne n'est pas un secret, mais les États-Unis à peine s'il remarque. De même at-il fermer les yeux sur le processus électoral truqué.
Bien avant l'élection le 28 novembre, il était clair que le Conseil électoral provisoire (CEP), qui supervise les élections, a été politisé. Un exemple: Il avait arbitrairement disqualifiés ancien ambassadeur d'Haïti à Washington et ouvertement critique Préval, Raymond Joseph, en tant que candidat. Il a également rendu impossible pour des centaines de milliers d'électeurs, qui avaient perdu leurs cartes d'identité dans le tremblement de terre, de les faire renouveler.
Ces violations ont été explicite des obligations du PEC, et le fait que les États-Unis, l'Organisation des Nations Unies et l'Organisation des États américains les laisser passer s'élevait à une approbation tacite du plan de Préval pour manipuler le résultat de ses propres Célestin homme-Jude.
Les choses ne s'améliorent pas le jour du scrutin. Beaucoup de ceux qui ont des cartes d'identité ne pourrait pas voter à leur bureau de vote attribué parce que quand ils sont arrivés là leurs noms ne figuraient pas sur le registre.Une source qui se trouvait sur le terrain en Haïti m'a dit que certains bureaux de vote n'ont jamais été autorisées par le CEP pour ouvrir, et les groupes d'opposition a formulé des accusations que les urnes avaient été bourrés par les partisans de Préval. Photographies des urnes renversées et les bureaux de vote parsemé de bulletins de vote ont virale sur le Web. électeurs haïtiens ont exprimé leur colère et le dégoût du processus, et 12 des 18 candidats convoqués pour les élections à être annulée.
Selon les rapports des observateurs internationaux et nationaux, y compris l'Union européenne financés par le Conseil national électoral Observation, composé de haïtienne des organisations non gouvernementales-, qui étaient également sur place au centre de tabulation lorsque les résultats ont été compilés, les candidats Mirlande Manigat et Michel Martelly la première place et la deuxième. Ces voix s'accorde aujourd'hui semblent offrir la meilleure chance pour que la vérité triomphe.
Mais M. Préval a clairement fait savoir qu'il n'a pas l'intention de s'en aller discrètement. La semaine dernière, son triés sur le volet CEP a annoncé que M. Célestin arrivé en deuxième position derrière Mme Manigat et a gagné le droit de participer à un second tour le mois prochain. Il a également déclaré que le parti de M. Préval avait gagné les deux tiers du parlement, qui va lui permettre de nommer le Premier ministre. L'opposition n'était pas de l'acheter, et pas seulement à cause de l'impopularité de M. Préval. Il a également reçu les rapports des observateurs le jour du scrutin. Des milliers d'Haïtiens sont descendus dans les rues. La violence a suivi. L'aéroport de Port-au-Prince ont dû être fermées. Une foule en colère a mis le siège du parti de M. Célestin est en feu.
directeur de campagne de M. Célestin riposté que son candidat avait recueilli 52% des voix et a averti que ses partisans dans les bidonvilles étaient prêts à déchaîner la violence. ''Si nous ne pouvons pas les retenir, vous préparer à la guerre civile, le sénateur Joseph Lambert''a dit.
Si la communauté internationale veut admettre publiquement qu'il est intimidé par des voyous, il devra dénoncer le bluff de M. Préval. Les États-Unis peut se réveiller à cette réalité. Lors d'une conférence la semaine dernière, le Département d'Etat a déclaré qu'il est "préoccupé" par la version du CEP de l'vote.The CEP a répondu la semaine dernière en disant qu'il va "raconter" la voix présidentielle. Ce n'est pas assez bon en provenance de l'institution qui a eu la garde des bulletins de vote pendant deux semaines, et les Haïtiens le savent. Quelqu'un a besoin pour briser les nouvelles à M. Préval.
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