Depuis quelques années, nos jeunes et nos étudiants tombent comme des mouches sous les bottes de colons des temps modernes. D’autre part, nos frères sont relégués au rang d’esclaves dans des bateys en République Dominicaine. Il est vrai qu’a l’époque ou l’armée haïtienne était encore constituée, une grande fraction d’elle était corrompu, comme tout le système d’ailleurs, mais encore la, nous étions entres frères.
Ou est la fierté, le sens patriotique
On dirige outrageusement les affaires de l’état en mettant la nation en péril. Que diraient nos aïeux, les pères de la patrie.
On a maintenant <<des sans manmans, >>‘’ des sans attaches qui sillonnent nos rues avec des attitudes de non respect sur leurs visages. Ces gens ne font que pointer leurs fusils avec une mines qui expriment un sentiment de sans pitié et d’indifférence.
Cette situation nous conduit irréfutablement à notre perte.
On n’est pas en mesure de nourrir et de protéger le peuple. Pour garantir les biens des nantis on a fait appel à des colonisateurs pour contrer la colère du peuple qui crie famine et justice.
La disparité sociale et économique s’élargie de jour en jour et le système crée de nouveaux riches à chaque nomination dans le palier administratif de l’état.
Il est temps de comprendre que nous sommes une nation, un peuple, une unité. Les déchets qui enjolivent nos rues reflètent tous les vestiges de notre société. Des enfants se prostituent, des chimères qui tuent, sont quelques exemples de conséquences de politiques menés de nos vos mains de maitres.
Nyrvah Florens Bruno
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