mardi 23 août 2016

L’INSÉCURITÉ EN HAÏTI


««Les hommes ne reçoivent point la vérité de leurs ennemis, et leurs amis ne la leur offrent guère.»»
Par Jean Ulrick Pavilus criminologue Analyste
L’insécurité en Haïti nous interpelle tous, comme criminologue dans nos efforts d’observations et d’analyses criminologiques visant à identifier la véritable nature de cette insécurité et pourquoi qu’il semble si difficile à restaurer l’ordre public, de garantir la sécurité des citoyens haïtiens, d’assurer la protection de l’État et ses institutions fondamentales et la sécurité du pays. Le résultat de nos observations et d'analyses criminologiques factuelles, nous démontrent qu’il y a là un véritable problématique d’instabilité de sécurité qui se pose aux autorités haïtiennes qui doivent garantir la sécurité et le bien être des citoyens haïtiens et de l’État d’Haïti.
En effet il résulte dans l’insécurité en Haïti, il y a trois groupes de crimes importants, les deux premiers groupes sont les délits et/ou les crimes contre la personne et les biens. Les crimes et délits les plus graves de ces deux catégories qui menace la société haïtienne, à savoir : les vols à main armée, les violes, les enlèvements et séquestration, les assassinats, fraudes, corruption et autres. De plus les crimes et délits relevant des zones des frontières terrestres et des eaux territoriales à savoir : les crimes et délits trans actionnels des narco trafiquants et de trafiques d’armes et de blanchissement d’argent. Notamment les activités des crimes et délits des zones de franchises douanières.
En ce à trait à ces délits et ces crimes c’est la police de la sécurité publique (la PNH) qui a pour fonctions spécifiques de faire la répression, de faire échec à la réussite des conspirations criminelles, de détecter ce les auteurs criminels, de les arrêter en vue des poursuites judiciaires appropriées; notamment de promouvoir la prévention active de ces délits et de ces crimes. Alors qu’à ce jour le mécanisme policier, judiciaire et correctionnel n’entrevoit toujours pas les mesures et les stratégies efficaces pour contrer ce phénomène criminel de l’insécurité dans la société haïtienne et pour rétablir l’ordre public. Il a y a une grande lacune dans le dynamisme de complémentarité des institutions du système pénal. La complémentarité de la mécanique policière, judiciaire et correctionnelle haïtien est inefficace et comme conséquence la montée de crimes et délits et de la violence criminelle augmente.
Le troisième groupe est celui des délits et/ou les crimes contre l’État et ses institutions fondamentales. Les délits et crimes de cette troisième catégorie se regroupe en partie dans la LOI N, 4 du code pénal haïtien à savoir : les crimes et délits contre la sûreté de l’État, les crimes contre la sûreté extérieure de l’État, des crimes contre la sûreté intérieure de l’État, des crimes de révélation ou non révélation qui compromette la sûreté intérieure ou extérieure de l’État, des crimes et délits contre la constitution, des crimes et délits politiques et crimes et délits contre la paix publique et autres de cette présente loi no 4 du code pénal haïtien.
En ce à trait à ces crimes, c’est l’entité de service sécurité intérieure et/ou de la sûreté intérieure de l’État qui devrait normalement à pour fonctions spécifiques de faire échec à ces crimes, de contrôler les menaces qui en découlent pour l’État et ses institutions fondamentales et pour le pays telles que :
a) les activités clandestines et trompeuses des activistes politiques trans- nationales, dans le but d’atteindre des objectifs politiques par la violence et/ou forcer des décisions politiques au profit des intérêts politiques et économiques de leurs mouvements
b) les activités clandestines et trompeuses depuis certains ambassades et consulats situés au pays, influencées par les étrangers aux caractères préjudiciables pour le gouvernement haïtien et le pays.
Plus spécifiquement, ces actions cachées et illicites visant à saper et influencer le renversement du gouvernement constitutionnel du pays dans le but d’atteindre des objectifs politiques, commerciales et d’exploitations minières et d’autre avantages de prédominances de toutes sortes.
Pour atteindre les objectifs de ces missions, ces ambassades et ces consulats ont des consultants qui leur fournissent des renseignements stratégiques sur la politique interne du gouvernement et sur le pays. Soit des renseignements qui devraient être couverts par la loi du secret officielle dans la LOI No 4 du code pénal haïtien.
De plus, ils font les recrutements des agents de renseignements au sein des groupes activistes politiques, de la fonction publique et auprès de certains hauts fonctionnaires de l’État en fournissant des matériels d’espionnage tels que appareil de photos ,enregistreuses miniatures et autres en offrant à partir de 300 cent à 700 dollars Us par mois . Soit des activités d’espionnages qui devront également être sanctionnées par la LOI no 4 du code pénal haïtien.
c) En fin Les activités d’ingérences étrangères actives dans la vie politique interne du gouvernement et du pays.
Tous ces crimes et délits et ces activités illicites à caractère préjudiciable pour l’État haïtien et ses institutions fondamentales et pour la sécurité du pays, ne relevant pas des fonctions de la PHN, tant de part ses attributions légales, de sa formation technique et professionnelle que de par son rôle de la police nationale de la sécurité publique.
Quand nous parlons de l’insécurité actuelle en Haïti c’est de cette dynamique manifeste réelle de toutes ces activités criminelles et d’espionnages qui ont certains liens entre eux. Mais la plus inquiétante c’est la gravité associative de certains groupes de gangs socio politiquement criminalisés et certaines organisations criminelles en lien parfois avec le pouvoir politique du pays, qui viennent greffer la complication des tâches de (la PNH) qui a pour fonctions spécifiques de faire la répression, de faire échec à la réussite de ces conspirations criminelles, de détecter ce les auteurs criminels, de les arrêter en vue des poursuites judiciaires appropriées
Quand bien même que nous décrions, critiquons, blâmons le système pénal et le système judiciaire haïtien comme étant les seules institutions capables et qui devraient de garantir l’ordre et la sécurité dans la société haïtienne. De même que nous décrions, critiquons, blâmons la PNH d’incapacité et qui devrait garantir la sécurité publique, la sécurité de l’État et ses institutions fondamentales .Il faudrait en toute lucidité et légitimité, qu’il y ait une structure des entités de forces publiques appropriées qui seront capables de relever ce défit de cette réalité de insécurité actuelle qui sévit notre société et notre pays.
De plus il est primordial de bien appréhender que l’absence de l’entité de service sécurité intérieure et/ou de la sûreté intérieure de l’État professionnelle légale et efficace, pour remplir les fonctions spécifiques de faire échec et contrôler les menaces envers l’État et ses institutions fondamentales. Cette lacune est la cause fondamentale de la politisation de la police en Haïti. Quand les pressions de menaces s’exercent sur l’État Exécutif et/ou sur le gouvernement. Le chef d’État Haïtien s’y réfère et s’approprie de la direction de la police (LA PNH), comme son bras droit, pour contrecarrer les menaces auxquelles dont il fait l’objet. Soit une action d’expression de pouvoirs politiques dominantes, qui plus souvent qu’autrement engendre la répression politique d’une délinquance politique primaire. Ces faits ont été observés et validés avec la gouvernance politique des chefs d’États Haïtiens Messieurs : Aristide, Préval et Martelly en Haïti !!!
En guise de conclusion :
Considérons l’ensemble de ces phénomènes de l’insécurité réelle actuellement en Haïti, nous comprendrons pourquoi depuis le départ des Duvalier Haïti n’arrive toujours pas à atteindre et maintenir le niveau de sécurité requise, permettant la stabilité de sécurité et politique favorable en Haïti pour permettre l’émergence du processus de développement du pays et pour créer l’État de droit en Haïti.
Tant et aussi longtemps que nous n’appliquons pas les mesures correctives et d’ajustement nécessaires pour qu’il y ait une structure des entités de forces publiques appropriées et qui seront capables de relever le défit de cette réalité de l’insécurisé actuelle dans notre société et qui sévit sur notre pays :
a)Le système pénal et le système judiciaire haïtien actuels dont nous disposons et qui demeurent les seules institutions pour garantir l’ordre et la sécurité dans la société haïtienne, ne seront pas en mesure pour restaurer l’ordre et la paix sociale dans la société haïtienne ainsi que le sentiment de sécurité chez les citoyens haïtiens
b) La PNH dont nous disposons pour garantir la sécurité publique, la sécurité de l’État et ses institutions fondamentales et de notre pays, ne sera pas non plus en mesure pour garantir sécurité intérieure et/ou de la sûreté intérieure de l’État, faire échec à ces crimes, de contrôler les menaces des activités et des actions cachées et illicites préjudiciables pour l’État haïtien, et ses institutions fondamentales et pour le pays !
Jean Ulrick Pavilus Criminologue Analyste.
BUREAU DE CRIMINOLOGIE EMPIRIQUE D’HAÏTI
Le 23 août 20016
REFERENCES
DENIS SZABO (1986) SCIENCE ET CRIMES - (Criminologie et politique criminelle)
Observations criminologiques de gouvernances politiques en Haïti
Observations et analyses criminologiques des actualités politiques et des activités criminelles en Haïti
CODE PÉNAL HAÏTIEN
(Chambre des Communes –29 juillet 1835) –
(Sénat – 10 août 1835) – (Promulgation – 11 août 1835) Deuxième édition revue et corrigée – octobre 1998, mise à jour par Jean Vandal.
CODE D’INSTRUCTION CRIMINELLE-HAÏTIEN (Chambre des Représentant-14 juillet).-. (Sénat.-.31 juillet)-.. (Promulgation.-. 31 juillet 1835). Mise à jour par Menant Pierre Louis Avril 1987.
CONSTITUTION DE LA RÉPUBLIQUE HAÏTI
Édition 1987

BUREAU DE CRIMINOLOGIE EMPIRIQUE D'HAÏTI: Crimes / criminalité

jeudi 18 août 2016

IL EST TEMPS D'ADMINISTRER LE PAYS !!!


                                      P

                  
««La construction de notre état de droit passe par la construction de l’homme haïtien.»»

Coordonnateur national Solda Ayiti Ayiti Solda



Aussi longtemps que nous n’arriverons pas à faire la différence entre le politicien et le citoyen, on aura toujours cette barrière dialectique, qui fera obstacle à l’avancement de la vie politique du pays.
Il n’y a pas matière de réjouissance quand des Yankees s’ingèrent dans les affaires politiques de notre pays et nous donne des directives arbitraires. Verrons-nous un jour l’ OEA, en France donné des dictats, NON. Pourquoi cela est-il possible pour nous ?

Parce que les couloirs de la vie politique haïtienne sont remplis d’hommes et de femmes de second ordre comme ils le disent. On n’est pas très loin de l’idéologie du précurseur de notre indépendance Toussaint Louverture, quand il réclama la présence du général Napoléon Bonaparte, du premier des noirs au premier des blancs.

Ne vous êtes-vous, jamais posé la question pourquoi le mot Vertièresne figure pas, dans aucun manuel français. ? Est-ce que l’âme de l’empereur Jean-Jacques Dessalines dans son voyage vers l’Eau de-là a emporté avec lui, l’âme d’Haïti.

Incompréhensiblement, l'haïtien rayonne en terres étrangères, sur le sol d’Haïti, on a comme l’impression que nous croupissons.

L’étranger n’a pas de leçon à nous faire, nous avons notre culture propre à nous et nous sommes distinctes par notre culture. Nous sommes une nation, la population est pauvre, nous avons un sol riche en minerai divers, mendiant parce que nous manquons de personnalité d’État pour relever ce pays à sa hauteur. Nous sommes riches de ce fait, nous sommes en droit de réclamer un autre regard.
Si, dans cet état, nous sommes rendus, c'est en grande partie de leur politique à notre égard.
Si, dans cet état, nous sommes rendus, c'est en grande partie de leur politique à notre égard. Nous avons permis qu'ils foulent notre sol et d'écraser sous leurs bottes la tête de soldats, la première institution du pays, celui-là, à qui nous devons notre indépendance, comment osons-nous parler de fierté haïtienne ; comment osons nous parler de nation ; comment osons nous parler de peuple ; car il caractérise l'unité et nous, nous avons peine et misère de considérer comme des frères. Nous Marquons encore la différence entre nous comme dans le temps de la colonisation, faisons pitié. Une société rongée par l'ignorance et morcelé de différences basées sur des préjugés et de la discrimination. Oui il est un fait indéniable Franklin Delano Roosevelt à bien prescrit sur l'agenda des institutions américaines comment nous gardés en peuple enchaîné, mais il faut reconnaître qu'il a bien réussi par la force de l'institution de son pays à contrôle notre avenir de peuple et par la cupidité de nos cervelles vides qui ne cherchent qu'à singer l'Occident.

Nous avons tout ce qu'il faut pour bien mener à bien le pays, il ne nous manque que de bons dirigeants.
Il est aussi incontestable que nos politiciens depuis un certain nombre d'années ne font que réduire le pays à une simple expression République de banane et avilit la nation, il préfère passer le bol au lieu d'administrer le pays, par incapacité. Leur principal objectif est de garder le pouvoir et loin de trouver des alliés pour construire le pouvoir et ainsi faire face à de redoutables adversaires, qui ne font que faire obstacle à sa politique et ainsi fait embûche a tout atterrissage, pour le bien-être de la société, c'est ainsi un cercle vicieux, l'un pousse, l'autre au dos et Prône la division et la différence.  
Certains de nos dirigeants dans le passé a utilisé le peuple en lieu et place de la communication avec les différentes couches de la société pour construire l'unité nationale. Ils ont priorisé la violence et ont fait choix d'instrumentaliser certains secteurs de la vie sociale afin de contrecarrer des soi-disant ennemis du pouvoir

Aujourd’hui, les secteurs instrumentalisés ont compris les sens de l’outil qu’il constitue et marchande leur silence. Socialisé en force répressive, le pouvoir de la répression change de main.

Difficile de mettre bon ordre aussi longtemps qu'on ne donnera la priorité à Haiti
 
1er Une conférence de nationale 
2e L'élaboration de pacte de bonne gouvernance 
3e Un programme national qui répond à notre identité de peuple,   pour un développement durable pour les 40 années à venir.   

Les forces du béton se croient capable d'imposer par la violence leurs revendications. Absurdité, ils se font manipuler à des fins pécuniaires, au profit des bandits légaux, qui instrumentalise les institutions du pays au détriment de la collectivité.>>

Il n'y que l'État, qui a le pouvoir de tenir une force répressive, dans le cas contraire, on fait face à l'anarchie.
On n'est pas au-devant d'un constat tangible, cette force répressive a changé de main. << Force béton.>> Ce changement suit une trajectoire, qui conduit à une déchéance capitale de la vie sociale, l'anarchie. Cette force est au service de l’offre et de la demande.

Ce n'est pas hier que nos politiciens se servent de la population comme outils de pression, ce fut le cas pour fignoler, avec le Roulo compresseur. Pour Papa Doc, lui à chaque 22 avril faisait arriver de partout des citoyens de l'arrière-pays pour l'acclamer, de Titid qui tolérait des dérapages de cette force béton et encore eux se sont retournés contre lui, trop de proximité nuit. Ti René n'a pas eu grand effort, il a bénéficié de la machine de Titid, sauf lui témoin et victime de la force béton, a travaillé dans l'ombre sans grande déclaration bouillante. La force du béton lui avait montré le chemin du départ, mais le séisme du 12 janvier 2010, a détourné la force du béton de ses objectifs : la déstabiliser de son pouvoir. Futé, il laisse dans le langage haïtien NAJE POU SOTI;. Sweet-Miky a suivi ses prédécesseurs en solidifiant des alliés de la force béton, toutefois, il a gardé un certain contrôle sur la machine humaine, il ne s’en n’est pas servi comme instrument de terreur 
Ses comportements ou ses choix politiques ont des réelles conséquences sur la construction de l'État nation. Ce serait pratique de blâmer la manière de diriger des chefs d'État d'Haïti, sans toutefois tenir compte de l'aspect socio-politique et des intérêts non avoués, des hommes et des femmes aux abords du pouvoir, qui sont les véritables bandits légaux. 

Ils puisent toute auréole dans la turbulence politique. Il y a un mot qui revient toujours sur le tapis politique, Négocier. Les synonymes du mot négocié, ne prêtent pas à la confusion : commercer ; trafiquer ; vendre ; marchander ; monnayer ; rétrocéder ; revendre ; fournir L'application de la constitution mettrait bon ordre à cette pratique. 
Pourquoi cette volonté de ne pas suivre les lignes tracées de notre loi mère. ? Tout l'enjeu y réside.
C'est pour cette raison, nous martelons tant, nous avons un problème d'hommes dans ce pays.
Il est temps d’administrer le pays.

Nyrvah Florens Bruno
Coordonnateur national
Solda Ayiti Ayiti Solda

soldayiti@gmail.com    

IL EST TEMPS D'ADMINISTRER LE PAYS !!!


                                      Par Nyrvah Florens Bruno.

                           Coordonnateur national Solda Ayiti Ayiti Solda.
««La construction de notre état de droit passe par la construction de l’homme haïtien.»»

Aussi longtemps que nous n’arriverons pas à faire la différence entre le politicien et le citoyen, on aura toujours cette barrière dialectique, qui fera obstacle à l’avancement de la vie politique du pays.
Il n’y a pas matière de réjouissance quand des Yankees s’ingèrent dans les affaires politiques de notre pays et nous donne des directives arbitraires. Verrons-nous un jour l’ OEA, en France donné des dictats, NON. Pourquoi cela est-il possible pour nous ?

Parce que les couloirs de la vie politique haïtienne sont remplis d’hommes et de femmes de second ordre comme ils le disent. On n’est pas très loin de l’idéologie du précurseur de notre indépendance Toussaint Louverture, quand il réclama la présence du général Napoléon Bonaparte, du premier des noirs au premier des blancs.

Ne vous êtes-vous, jamais posé la question pourquoi le mot Vertièresne figure pas, dans aucun manuel français. ? Est-ce que l’âme de l’empereur Jean-Jacques Dessalines dans son voyage vers l’Eau de-là a emporté avec lui, l’âme d’Haïti.

Incompréhensiblement, l'haïtien rayonne en terres étrangères, sur le sol d’Haïti, on a comme l’impression que nous croupissons.

L’étranger n’a pas de leçon à nous faire, nous avons notre culture propre à nous et nous sommes distinctes par notre culture. Nous sommes une nation, la population est pauvre, nous avons un sol riche en minerai divers, mendiant parce que nous manquons de personnalité d’État pour relever ce pays à sa hauteur. Nous sommes riches de ce fait, nous sommes en droit de réclamer un autre regard.
Si, dans cet état, nous sommes rendus, c'est en grande partie de leur politique à notre égard.
Si, dans cet état, nous sommes rendus, c'est en grande partie de leur politique à notre égard. Nous avons permis qu'ils foulent notre sol et d'écraser sous leurs bottes la tête de soldats, la première institution du pays, celui-là, à qui nous devons notre indépendance, comment osons-nous parler de fierté haïtienne ; comment osons nous parler de nation ; comment osons nous parler de peuple ; car il caractérise l'unité et nous, nous avons peine et misère de considérer comme des frères. Nous Marquons encore la différence entre nous comme dans le temps de la colonisation, faisons pitié. Une société rongée par l'ignorance et morcelé de différences basées sur des préjugés et de la discrimination. Oui il est un fait indéniable Franklin Delano Roosevelt à bien prescrit sur l'agenda des institutions américaines comment nous gardés en peuple enchaîné, mais il faut reconnaître qu'il a bien réussi par la force de l'institution de son pays à contrôle notre avenir de peuple et par la cupidité de nos cervelles vides qui ne cherchent qu'à singer l'Occident.

Nous avons tout ce qu'il faut pour bien mener à bien le pays, il ne nous manque que de bons dirigeants.
Il est aussi incontestable que nos politiciens depuis un certain nombre d'années ne font que réduire le pays à une simple expression République de banane et avilit la nation, il préfère passer le bol au lieu d'administrer le pays, par incapacité. Leur principal objectif est de garder le pouvoir et loin de trouver des alliés pour construire le pouvoir et ainsi faire face à de redoutables adversaires, qui ne font que faire obstacle à sa politique et ainsi fait embûche a tout atterrissage, pour le bien-être de la société, c'est ainsi un cercle vicieux, l'un pousse, l'autre au dos et Prône la division et la différence.  
Certains de nos dirigeants dans le passé a utilisé le peuple en lieu et place de la communication avec les différentes couches de la société pour construire l'unité nationale. Ils ont priorisé la violence et ont fait choix d'instrumentaliser certains secteurs de la vie sociale afin de contrecarrer des soi-disant ennemis du pouvoir

Aujourd’hui, les secteurs instrumentalisés ont compris les sens de l’outil qu’il constitue et marchande leur silence. Socialisé en force répressive, le pouvoir de la répression change de main.

Difficile de mettre bon ordre aussi longtemps qu'on ne donnera la priorité à Haiti
 
1er Une conférence de nationale 
2e L'élaboration de pacte de bonne gouvernance 
3e Un programme national qui répond à notre identité de peuple,   pour un développement durable pour les 40 années à venir.   

Les forces du béton se croient capable d'imposer par la violence leurs revendications. Absurdité, ils se font manipuler à des fins pécuniaires, au profit des bandits légaux, qui instrumentalise les institutions du pays au détriment de la collectivité.>>

Il n'y que l'État, qui a le pouvoir de tenir une force répressive, dans le cas contraire, on fait face à l'anarchie.
On n'est pas au-devant d'un constat tangible, cette force répressive a changé de main. << Force béton.>> Ce changement suit une trajectoire, qui conduit à une déchéance capitale de la vie sociale, l'anarchie. Cette force est au service de l’offre et de la demande.

Ce n'est pas hier que nos politiciens se servent de la population comme outils de pression, ce fut le cas pour fignoler, avec le Roulo compresseur. Pour Papa Doc, lui à chaque 22 avril faisait arriver de partout des citoyens de l'arrière-pays pour l'acclamer, de Titid qui tolérait des dérapages de cette force béton et encore eux se sont retournés contre lui, trop de proximité nuit. Ti René n'a pas eu grand effort, il a bénéficié de la machine de Titid, sauf lui témoin et victime de la force béton, a travaillé dans l'ombre sans grande déclaration bouillante. La force du béton lui avait montré le chemin du départ, mais le séisme du 12 janvier 2010, a détourné la force du béton de ses objectifs : la déstabiliser de son pouvoir. Futé, il laisse dans le langage haïtien NAJE POU SOTI;. Sweet-Miky a suivi ses prédécesseurs en solidifiant des alliés de la force béton, toutefois, il a gardé un certain contrôle sur la machine humaine, il ne s’en n’est pas servi comme instrument de terreur 
Ses comportements ou ses choix politiques ont des réelles conséquences sur la construction de l'État nation. Ce serait pratique de blâmer la manière de diriger des chefs d'État d'Haïti, sans toutefois tenir compte de l'aspect socio-politique et des intérêts non avoués, des hommes et des femmes aux abords du pouvoir, qui sont les véritables bandits légaux. 

Ils puisent toute auréole dans la turbulence politique. Il y a un mot qui revient toujours sur le tapis politique, Négocier. Les synonymes du mot négocié, ne prêtent pas à la confusion : commercer ; trafiquer ; vendre ; marchander ; monnayer ; rétrocéder ; revendre ; fournir L'application de la constitution mettrait bon ordre à cette pratique. 
Pourquoi cette volonté de ne pas suivre les lignes tracées de notre loi mère. ? Tout l'enjeu y réside.
C'est pour cette raison, nous martelons tant, nous avons un problème d'hommes dans ce pays.
Il est temps d’administrer le pays.

Nyrvah Florens Bruno
Coordonnateur national
Solda Ayiti Ayiti Solda

soldayiti@gmail.com    

IL EST TEMPS D'ADMINISTRER LE PAYS !!! 

                                      Par Nyrvah Florens Bruno.

                           Coordonnateur national Solda Ayiti Ayiti Solda.
««La construction de notre état de droit passe par la construction de l’homme haïtien.»»

Aussi longtemps que nous n’arriverons pas à faire la différence entre le politicien et le citoyen, on aura toujours cette barrière dialectique, qui fera obstacle à l’avancement de la vie politique du pays.
Il n’y a pas matière de réjouissance quand des Yankees s’ingèrent dans les affaires politiques de notre pays et nous donne des directives arbitraires. Verrons-nous un jour l’ OEA, en France donné des dictats, NON. Pourquoi cela est-il possible pour nous ?

Parce que les couloirs de la vie politique haïtienne sont remplis d’hommes et de femmes de second ordre comme ils le disent. On n’est pas très loin de l’idéologie du précurseur de notre indépendance Toussaint Louverture, quand il réclama la présence du général Napoléon Bonaparte, du premier des noirs au premier des blancs.

Ne vous êtes-vous, jamais posé la question pourquoi le mot Vertièresne figure pas, dans aucun manuel français. ? Est-ce que l’âme de l’empereur Jean-Jacques Dessalines dans son voyage vers l’Eau de-là a emporté avec lui, l’âme d’Haïti.

Incompréhensiblement, l'haïtien rayonne en terres étrangères, sur le sol d’Haïti, on a comme l’impression que nous croupissons.

L’étranger n’a pas de leçon à nous faire, nous avons notre culture propre à nous et nous sommes distinctes par notre culture. Nous sommes une nation, la population est pauvre, nous avons un sol riche en minerai divers, mendiant parce que nous manquons de personnalité d’État pour relever ce pays à sa hauteur. Nous sommes riches de ce fait, nous sommes en droit de réclamer un autre regard.
Si, dans cet état, nous sommes rendus, c'est en grande partie de leur politique à notre égard.
Si, dans cet état, nous sommes rendus, c'est en grande partie de leur politique à notre égard. Nous avons permis qu'ils foulent notre sol et d'écraser sous leurs bottes la tête de soldats, la première institution du pays, celui-là, à qui nous devons notre indépendance, comment osons-nous parler de fierté haïtienne ; comment osons nous parler de nation ; comment osons nous parler de peuple ; car il caractérise l'unité et nous, nous avons peine et misère de considérer comme des frères. Nous Marquons encore la différence entre nous comme dans le temps de la colonisation, faisons pitié. Une société rongée par l'ignorance et morcelé de différences basées sur des préjugés et de la discrimination. Oui il est un fait indéniable Franklin Delano Roosevelt à bien prescrit sur l'agenda des institutions américaines comment nous gardés en peuple enchaîné, mais il faut reconnaître qu'il a bien réussi par la force de l'institution de son pays à contrôle notre avenir de peuple et par la cupidité de nos cervelles vides qui ne cherchent qu'à singer l'Occident.

Nous avons tout ce qu'il faut pour bien mener à bien le pays, il ne nous manque que de bons dirigeants.
Il est aussi incontestable que nos politiciens depuis un certain nombre d'années ne font que réduire le pays à une simple expression République de banane et avilit la nation, il préfère passer le bol au lieu d'administrer le pays, par incapacité. Leur principal objectif est de garder le pouvoir et loin de trouver des alliés pour construire le pouvoir et ainsi faire face à de redoutables adversaires, qui ne font que faire obstacle à sa politique et ainsi fait embûche a tout atterrissage, pour le bien-être de la société, c'est ainsi un cercle vicieux, l'un pousse, l'autre au dos et Prône la division et la différence.  
Certains de nos dirigeants dans le passé a utilisé le peuple en lieu et place de la communication avec les différentes couches de la société pour construire l'unité nationale. Ils ont priorisé la violence et ont fait choix d'instrumentaliser certains secteurs de la vie sociale afin de contrecarrer des soi-disant ennemis du pouvoir

Aujourd’hui, les secteurs instrumentalisés ont compris les sens de l’outil qu’il constitue et marchande leur silence. Socialisé en force répressive, le pouvoir de la répression change de main.

Difficile de mettre bon ordre aussi longtemps qu'on ne donnera la priorité à Haiti
 
1er Une conférence de nationale 
2e L'élaboration de pacte de bonne gouvernance 
3e Un programme national qui répond à notre identité de peuple,   pour un développement durable pour les 40 années à venir.   

Les forces du béton se croient capable d'imposer par la violence leurs revendications. Absurdité, ils se font manipuler à des fins pécuniaires, au profit des bandits légaux, qui instrumentalise les institutions du pays au détriment de la collectivité.>>

Il n'y que l'État, qui a le pouvoir de tenir une force répressive, dans le cas contraire, on fait face à l'anarchie.
On n'est pas au-devant d'un constat tangible, cette force répressive a changé de main. << Force béton.>> Ce changement suit une trajectoire, qui conduit à une déchéance capitale de la vie sociale, l'anarchie. Cette force est au service de l’offre et de la demande.

Ce n'est pas hier que nos politiciens se servent de la population comme outils de pression, ce fut le cas pour fignoler, avec le Roulo compresseur. Pour Papa Doc, lui à chaque 22 avril faisait arriver de partout des citoyens de l'arrière-pays pour l'acclamer, de Titid qui tolérait des dérapages de cette force béton et encore eux se sont retournés contre lui, trop de proximité nuit. Ti René n'a pas eu grand effort, il a bénéficié de la machine de Titid, sauf lui témoin et victime de la force béton, a travaillé dans l'ombre sans grande déclaration bouillante. La force du béton lui avait montré le chemin du départ, mais le séisme du 12 janvier 2010, a détourné la force du béton de ses objectifs : la déstabiliser de son pouvoir. Futé, il laisse dans le langage haïtien NAJE POU SOTI;. Sweet-Miky a suivi ses prédécesseurs en solidifiant des alliés de la force béton, toutefois, il a gardé un certain contrôle sur la machine humaine, il ne s’en n’est pas servi comme instrument de terreur 
Ses comportements ou ses choix politiques ont des réelles conséquences sur la construction de l'État nation. Ce serait pratique de blâmer la manière de diriger des chefs d'État d'Haïti, sans toutefois tenir compte de l'aspect socio-politique et des intérêts non avoués, des hommes et des femmes aux abords du pouvoir, qui sont les véritables bandits légaux. 

Ils puisent toute auréole dans la turbulence politique. Il y a un mot qui revient toujours sur le tapis politique, Négocier. Les synonymes du mot négocié, ne prêtent pas à la confusion : commercer ; trafiquer ; vendre ; marchander ; monnayer ; rétrocéder ; revendre ; fournir L'application de la constitution mettrait bon ordre à cette pratique. 
Pourquoi cette volonté de ne pas suivre les lignes tracées de notre loi mère. ? Tout l'enjeu y réside.
C'est pour cette raison, nous martelons tant, nous avons un problème d'hommes dans ce pays.
Il est temps d’administrer le pays.

Nyrvah Florens Bruno
Coordonnateur national
Solda Ayiti Ayiti Solda

soldayiti@gmail.com    

Le dilettantisme plonge la nation vers des accalmies et souillent notre dignité du peuple.




Diriger 10 millions et plus d'êtres humains, c'est l'affaire des têtes pensantes, décidons-nous aujourd'hui à sortir le pays du marasme et ensemble faire la révolution économique, sociale, culturelle et ainsi répondre aux besoins primaires de nos concitoyens. Ce n'est pas les beaux édifices ou des routes, qui sont les charpentes de l'émergence de notre pays, c'est la solidité de nos institutions, notre devoir patriotique et la responsabilité nationaliste de tous et de chacun. On dit souvent le peuple à le dirigeant qu'il mérite, dans notre cas, on dira plutôt nos dirigeants ont réduit le peuple à l'obscurantisme et ils en n'ont fait des outils manœuvrables. Le choix de voter pour un candidat devrait être lié à l'appréciation de son programme et les moyens de les atterrir.

La campagne devrait être la vente de sa vision, mais en Haïti, on vend plutôt un leader et en référence, on étale sa réussite personnelle. Ce n'est pas contradictoire, car cela démontre le caractère du leader, mais la réussite dans les affaires ne peut en aucun cas remplacer le programme pour le développement d'un pays. Avec de vrais leaders responsables et respectueux au-devant la nation, dans nos Universités on devrait dû avoir de véritables débats de choix sur le programme de ce ceux, qui s'apprêtent à prendre la direction de la nation et ceci serait un grand atout à la préparation de nouveaux leaders, qui demain aurait à diriger le pays.
Nos leaders nous mentent, comme des arracheurs de dents, ils vendent un produit, qui n'existe que dans leur imaginaire, ils n'ont pas les moyens de leur politique.

Nos leaders nous mentent, comme des arracheurs de dents, ils vendent un produit, qui n'existe que dans leur imaginaire, ils n'ont pas les moyens de leur politique. Nous avons passé tout ce temps à être des girouettes aux yeux de l'Occident, pour cause, nous ne faisons que les mimés. Nous avons oublié ce qu'a été Haïti, notre distinction…. Notre richesse colorée. Notre différence est notre culture, c'est notre beauté. Pourquoi pensez-vous qu'ils vous vendent leur culture, c'est une façon de nous récupérer, consommer de notre culture, nous devenons que des pantins.

La force des pays, qui résistent à l'Occident, est imputable à la robustesse de leur culture. Pensez-vous que c'est par un heureux hasard que nous regardons des chaînes de l'Occident sur nos petits écrans, c’est mal connaitre l'impérialiste. Tout est calculé pour de longues années à venir. Tandis que nous, nous vivons au jour le jour et notre politique est <<Ponpiéiste>>. 

Nous avons le devoir de repenser Haïti sous toutes ses formes. L'appareil de l'administration de l'État doit être aux mains de nos jeunes cadres. La décentralisation et la bonne gestion des bureaux de services sont impérativement liées au soubassement de la société. Nous devons mettre toutes les balises qu'il faut pour instauration du respect à tous les niveaux, à nouveau dans la vie sociale haïtienne dès la première source de socialisation de l'enfant et de veiller à son l'application.

Préparer des universitaires dans les domaines clés répondant à notre situation de l'heure. Instaurer un service intelligence éclairée, pour la sauvegarde et le développement de la nation. Instruire la nation de sa réalité de peuple et les incités à prendre part dans la reconstruction du pays. Nous sommes un peuple pauvre, mais un pays riche. Nous devons avoir des partenaires sur notre sol pour extraire et raffiner nos produits chez nous et, ainsi mettre à profit   la création du travail pour des millions de nos concitoyens. 

Il faut mettre terme à l'exploitant de la firme canadienne, dans nos mines d'or, dans le Nord du pays. (Le Cap-Haitien). Ils sont en train de nous pillés.

La tendance politique est de garder les haïtiens de l'extérieur loin des rouages de la politique. Je vous dis en vérité, tant que n'ouvrez pas la grande porte en rendant tous les haïtiens égaux sans discrimination aucune, Haïti restera comme un enfant en passage.
Soyons putains en politique comme l'Occident, tout ce qui est grand et beau, il l'accapare. Nos frères et sœurs brilles dans de hautes fonctions. C'est une richesse pour lui, pourquoi garder la porte fermée, récupérons-les ?

Nous devons favoriser la culture de vivre ensemble et d'extirper dans nos vocables et dans nos écris le mot <<DIASPORA.>> Nous avons une terre, nous avons un pays, nous avons une patrie, nous avons une nation, nous sommes HAITI.

Nyrvah Florens BRUNO,
Coordonnatrice nationale du mouvement Solda Ayti Ayiti Solda
soldayiti@gmail.com


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