jeudi 30 octobre 2014

Augustin Bruno, mon grand père

Le problème d’Haïti n’est pas un problème de président Michel Joseph Martelly, Il vient de notre division de peuple.



Aujourd’hui plus que jamais, nous avons un Chef d’État,Son Excellence Michel Joseph Martelly, accompagné de son Premier Ministre  Laurent Salvador Lamothe, qui impose le changement réel pour une Haïti moderne.
Le changement qu’ils préconisent effraie, car  les ténors de trouble n’auront pas d’outils nécessaires pour manipuler la masse populaire à leur gré.
Depuis la création de notre  état-nation, il n’y a jamais eu de programme de développement durable, les acteurs se sont contentés à saupoudrer l’œil de la société, rien de fondamentalement  axé sur une vision à long terme.
Haïti est en chantier et l’administration haïtienne se modernise
En général la machine administrative de l’État haïtien est une machine à sous pour les tenants du pouvoir.  Il n’est pas  singulier  de voir, un chef d’État gravi le pouvoir sans un sou et de quelques mois il est richissime.  
Ceci est possible parce que la faiblesse des institutions et l’incapacité des agents le favorisent.
Le phénomène militantisme en Haïti a pris son essor  depuis la chute des Duvalier.  
Le militantisme a pris en otage l’administration, un véritable coup de massue pour cette institution, un dysfonctionnement quasi total. Des administrateurs répondent à l’engagement que  par leur militance,  non de leur savoir en général.
La démocratie est une démarche, qui trouve ses empruntes dans des structures modernes et transparentes. La création de la structure moderne administrative que préconise le gouvernement Martelly-Lamothe est la base d’une nouvelle Haïti émergente.  
IL y a des pré requis pour asseoir  de la  démocratie  en Haïti : L’éducation de la population par la sensibilisation et la compréhension des règles démocratiques; la socialisation des enfants par leurs instituteurs.
Un gouvernement responsable doit veiller à ce que ses citoyens  aient la possibilité d’avoir des nécessités premières comme : Éducation; santé; eau; logement  et favoriser la croissance économique par une politique d’accompagnement  à la création des PME; Etc. Le gouvernement Martelly-Lamothe,  mais l’emphase sur ses priorités.
La création d’un l’état responsable en Haïti est un chemin long et difficile. Vu, l’état psychique de la population il faut une conscientisation nationale de tous les secteurs afin de sauver la génération actuelle. Nous sommes en face d’une conjoncture qui facilite l’obscurantisme.  
1.     l’absence des élites;
2.     la mise on otage de la population par des analphabètes fonctionnels;
3.     La course des traditionnels politiciens, qui se servent de l’ignorance de la population, est  autant d’obstacles  qui l’atrophie  Haïti.
La disparité sociale depuis la colonie est le point culminant de toutes les cassures de la société haïtienne.  
L’Occident est imbu des faiblesses, qui font embuche au développement d’Haïti. Les grands ouvrages haïtiens sont dans des bibliothèques en Europe et en Amériques.  
Tous les pays qui jouissent de la démocratie  aujourd’hui, savent qu’il y a un processus à suivre pour arriver à cette finalité.
Le peuple noir colonisé est plus assujetti à des bouleversent de sociétés, du fait que  les séquelles coloniales sont très fortement empeignées dans leur être.  Il est normal que la population soit si réfractaire au changement il y a  un passé de colonisé qui la hante.  
Si l’on tient compte des atrocités qui ont marqué ce peuple, on comprendra qu’il est plus apte de se rebeller qu’à s’unir. Tout ceci relève du subconscient   
 Nous haïtiens, nous  devons de nous-mêmes, trouver des solutions haïtiennes, mais la première des choses que nous devons faire, c’est de nous débarrasser du colon qui dort en nous.   

Nyrvah Florens Bruno,
Coordonnateur du mouvement social  Solda Ayiti     Ayiti Solda


mardi 28 octobre 2014

Président Michel Joseph Martelly est le missionnaire D'HAITI.


Nous ne faisons que continuer ce que les colons nous ont enseigné. Nous sommes devenus plus colons que les colons. Nous excellons dans l’atrocité, l’hypocrisie. Nous sommes des scorpions. 
 Sans une de conscience nationale de notre état de peuple, les vermines poursuivront leur besogne sans scrupule : Utiliser les pauvres d’esprit au bénéfice de leur poche. 
 
Nous soldat d’Haïti nous disons NON 
 
Président Michel Joseph Martelly est le missionnaire D'HAITI. Il est là pour conduire le pays à la réconciliation mettre la première pierre pour la nouvelle Haïti. En ce sens nous encourageons vivement tous nos compatriotes d'apporter du grain au moulin. Il faut que cela change
https://www.youtube.com/watch?v=z88_LQMKF2w

mardi 14 octobre 2014

La démocratie en Haïti, un canular



La démocratie en Haïti, un canular

La démocratie n'est pas instantanée à aucun coin sur la planète terre, vouloir imposer la démocratie en Haïti, sans préalablement éduquer la société haïtienne de ce qu'est un régime démocratique, est comparable à une bombe à retardement.

La démocratie à ses lignes directives : le respect des principes établis; le respect des droits de l'autre; le respect des biens d'autrui; le respect mutuel; le respect des prescrits de la loi et les devoirs et responsabilités de chaque citoyen.

Il n'y a pas que les élections, qui traduit une société est démocratique, c'est tout un ensemble de configuration, qui le formule.

Les sociétés démocratiques ont mis des barèmes à ce que la démocratie soit la boussole de leur société. Ils ont mis un contrôle sur l'économie des familles démunies, dans une société démocratique les besoins primaires de la société, sont essentiels pour son équilibre.

La politique de l'autruche est en train de nous assassiner, la non-faisabilité de l'établissement de la démocratie vous grève les yeux, mais, nous continuions comme un paon à leurrer la population de foutaise <<société démocratique>>
Il y a des prés-- requis pour la construction d'un État démocratique, en Haïti malheureusement ce n'est pas le cas.
Nous prônons la démocratie et tout compte fait, nous vivons dans une société qui frise l'anarchie.

Ce que nous prenons pour un acquis démocratique, est une liberté de profaner librement à tort ou à raison sur n'importe qui. Dans une société la diffamation à un prix, le saviez-vous?

Pour sortir Haïti dans ce bourbier il faut au préalable cesser de se mentir et prendre le taureau par les cornes, chose que nous sommes incapables de faire, vu la division qui nous ronge comme un cancer. Ce déchirement entre frères, finira par avoir raison de nous.
Notre aveuglement se dresse comme un bouclier et réfute tout changement si nous refusons de freiner cette hémorragie il n’y aura que l'ombre de notre Haïti dans les années à venir.

Dans une société démocratique personne n'est au-dessus des lois, est-ce le cas chez nous? Celui qui se dit la démocratie même, cherche refuge sur les étals de l'anarchie, une société truquée de bluffeurs.

Dans une société où les ouï-dire font écho dans des medias, l'abime n'est pas trop loin.

C'est par la socialisation que la démocratie prendra forme, pour cela il faut rentrer d'emblée dans les écoles une formation intensive du savoir-vivre et des conséquences de non-respect des normes.

Dans toutes les institutions étatiques ou privées les employés qui sont en contact avec la population doivent prendre des cours adaptés au service de la clientèle et aucun écart de conduite ne doit être toléré.

Tout acte de violence doit être sanctionné sans équivoque.

La construction d'un État de droit en Haïti, dépendra de la volonté et de la détermination de tous les secteurs de la vie nationale.

Cessons de rêver à une Haïti nouvelle, rentrons dans le concret et bâtissons ensemble l'Haïti de demain.

Nyrvah Florens Bruno,
Soldat pour une nouvelle Haïti
 
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