jeudi 27 décembre 2012

Nous pouvons encore corriger et changer l’avenir de nos jeunes révoltés des bidonvilles. Il nous faut pour cela appliquer une politique articulée.






Le nombre des révoltés est croissant, il est lié à l’absence d’un programme de développement durable.  La faiblesse institutionnelle causée par des cadres incompétents depuis des décennaires, par rapport à la conjoncture sociale qui a toujours sévi au pays, tous les appareils administratifs doivent tenir une seule voie : le bien-être pour tous


Les agents administratifs doivent être équitable à l’endroit de chaque Haïtien indistinctement. Nous devons rejeter du revers de la main cette maudite culture de nos colonisateurs la prédominance sur les plus faibles.

Il faut voir la reconstruction de notre pays, comme la construction de notre maison de rêve en impliquant chaque citoyen du pays en élément de base. La population doit être considérée comme des poutres, des pilotes de béton. 



Il faut prendre des mesures pour diminuer la disparité sociale, qui sont essentiels pour l’harmonisation de la société. 



Il faut travailler à la recherche de l’homogénéité de la société.


Il faut aussi faire école à toutes les couches de la société, souvent on parle d’éducation civique et on l’attribue ces bienfaits aux couches de la société, qui ne sont pas nanties, erreur catastrophique. Il est plus que temps de sensibiliser les grands dons de notre société, de leur responsabilité dans la dérive de la division par des complexes et des préjugés qui font embuche à l’unité de la nation que beaucoup d’entre-deux entretient.

La construction de la nation passe par l’unité du peuple.


Le ressentiment des jeunes révoltés haïtiens est similaire aux frustrations des noirs d’Amérique qui cherchaient la justice sociale. Il est impossible de construire l’unité du pays aussi longtemps que nous Haïtiens, nous nourrissons des préjugés qui sont des séquelles coloniales, notre salut de peuple réside dans l’unité. 



Nous avons besoin de retrouver nos valeurs collectives et taire la violence muette qui bat son plein et qui mine notre société. 



L’absence de la conscience de nos citoyens, était et reste encore le plus grand handicap de l’avancer de notre pays, Haiti



Patriotiquement Nyrvah Florens  BRUNO

Soldat Haiti, Haiti Solda

mardi 18 décembre 2012

Rankont Nyrvah Florens Bruno, Ak Prezidan Repiblik la, Ekselans Michel Joseph Martelly


Mwen rankontre Prezidan peyi ya, Ekselans Michel Joseph Martelly, mardi 17 decembre 2012, nan palè nasyonal. Mwen soti konvenki anko plis de volonte'l ak fos detèminasyon prezidan Martelly genyen, pou li mete bon baz solid pou yon konstwi
ksyon reèl pou peyi ya chanje. 

Si tout ayisyen te pote kole avek prezidan repilik la, chanjman peyi ya, pat tap tade, mwen te pwofite de okasyon sa'a, pou mwen te renouvle bon santiman ke mwen genyen pou kouraj ak detèminasyon prezidan’n. 


Mwen pa konnen tout defò prezidan Michel Joseph Marthelly, mwen te kontan dekouvri ke pi gwo defò prezidan’an se lanmou li pote pou peyi li, Ayiti. 

Se yon prezidan ki o sèvis de popilasyon li, yon nonm ki umen 

Mèsi Prezidan Martelly, pou chalè akèy la, Ansam nou ap kontinye travay pou peyi nou chanje visaj, pou ayiti jwen fyète’l ankò. 

Solda Ayiti Ayiti solda, nou pap fè bak ankon, fòk Ayiti chanje.



Patriotikman Nyrvah Florens Bruno

TET KALE

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jeudi 29 novembre 2012

Pourquoi la politique de Martelly-Lamothe n’atterrit pas à la population


Pourquoi la politique de Martelly-Lamothe n’atterrit pas à la population
Je répondrai sans contredit c’est un pouvoir négocié, Nous sommes dans une situation délicate où les garants du pouvoir Martelly-Lamothe sont détenus en grande partie par des personnalités politiques lavalassiennes

Le pouvoir se veut ouvert en ce sens travailler avec toutes les forces et secteurs politiques pour lancer le pays, génial dirait-on, mais cette mise en place doit rentrer dans une structure institutionnellement solide et ainsi appliquer et faire ressortir la marque Martellienne  Qui peut répondre à cette question à savoir c’est quoi la philosophie du pouvoir Martelly-Lamothe sa ligne politique. Nous pouvons sans hésiter parler de la détermination et de la volonté de travailler vers une nouvelle Haïti.
 Une marque politique martellienne aurait été une équipe travaillant à appliquer la politique de l’exécutif et à son atterrissage. Nous sommes en face des acteurs qui se positionne et font tout pour contrôler la machine du pouvoir un pouvoir qui ne cesse d’être négocié.
Aujourd’hui, certain parle d’un pouvoir chatte rouge, d'autres de pouvoir de mosaïques, tout ceci traduit un pouvoir partager et incontrôlable par de l’exécutif. Les principaux acteurs hissés au seuil du pouvoir amènent avec eux leurs agendas politiques et ne font que renforcer leurs positions.

Il n’est certes pas étonnant un haut cadre parmi les ministres planifie des manifestes contre le pouvoir et dilapide l’argent des contribuables à des particuliers à des fins politiques en les faisant passer pour des petits projets. Qui règlemente, qui contrôle, encore eux Quel amalgame.
Une manifestation est prévue le 5 décembre pour décrier le pouvoir, parce qu’une tête parmi les ministres semble secouée. L’argent des contribuables des sans secours, répond à des salles besognes de criminalités. Les rues de Port-au-Prince seront encore occupées comme outils politiques au service des grands mangeurs, pourquoi eux ? 
La réponse est simple ils ont faim.
La tension risque de grimper si des mesures de soulagements tardent à venir. 

Ministre Daniel Supplice, à mes yeux vous êtes celui qui comprend les enjeux politiques qui trament autour du président de la République, son Excellence, Michel Joseph Martelly  et au courage de lui dire cruellement la vérité de sa politique. Côté atterrissage rien ne va. Ministre supplice le pays a besoin d’Homme et de femmes aimant le pays, Vous Ministre supplice, homme courageux, nationaliste bon patriote il vous incombe aujourd’hui cette responsabilité de sauver ce qui peut-être sauver. Il faut impératif de remonter la pente, le pays a trop souffert.

Beaucoup,  aveugle le  pouvoir en  faisant  croire que tout va bien. Ils seront  les premiers à taper sur leurs  poitrines et renier leurs implications, comme ils l’ont  fait par le passé. 

Une conférence de presse est aussi à l’ordre du jour pour demander aux parlementaires de laisser le gouvernement travailler et qu’enfin les revendications de la population soient écoutées. 

Le travail du terrain n’est pas le travail du Président ses représentants parlent toujours de leurs volontés de faire et le mur qu’il leur fait obstacle du coté du pouvoir central. 

Attendez-vous à ceci, le mois de décembre il n’y aura pas de place pour le dialogue, la population attend des résultats. 

Permettez que je partage une réflexion d’un jeune de Cité Soleil : 

Madanm Bruno se vle nèg yo pa vle, Madanm , tout lajan sa yo yo ap bay ti zanmi, ti group yo, baz yo, bati fos politik yo, yo te ka fè anpil bagay avek li, nou grangou nan Site ya,  restoran Abagrangou , pou ki sa,  se pa sa,  yo fè pou nou. Nou remen presidan Martelly nou konnen kiyes li ye men jan li ap jere nou la, pa bon menm.

Patriotikman Nyrvah Florens Bruno

Solda Ayiti   Ayiti Solda

dimanche 25 novembre 2012

Ne gardez pas le silence RÉAGISSEZ





Ne gardez pas le silence réagissez, Il suffit parfois d'un geste, d'un mot pour changer le cours des choses.
Nous avons besoins de tondeuses de coiffeurs pour remettre aux jeunes en âge de travail, afin qu’ils gagnent de quoi manger.
Il n’y a pas de solution miraculeuse. Il y a des décennies que des haïtiens nagent dans l’eau puante cause  de leur comportement antipatriotique et antinationaliste. Il faut un début  à tout. Vous pouvez aider un jeune à gagner sa vie dignement en participant à leur procurer des outils de travail. Ils n’ont pas besoin d’un pain mais plutôt comment fabriquer leur pain. À tous ceux  la situation précaire de nos jeunes préoccupe, n’hésitez pas participer à cet effort qui tend à donner un peu de dignité à non concitoyens.

lundi 5 novembre 2012

PAS DE CONFRONTATION ARMÉE DANS LES QUARTIERS À CITÉ SOLEIL


5 NOVEMBRE 2012
Komin nan se Site Soley, men gen katye Site Soley ak Katye Simon Pele

Je porte un démenti formel des infos de certains radios qui font croire qu’il a une guerre à Cité Soleil. J’ai passé la journée de samedi  à Cité Soleil  j’ai visité quartier après  quartier. Il y a effectivement une confrontation armée à Simon Pelé, à Cité Soleil il n’y a pas lueur  de dérapage.

 À ne pas confondre Cité Soleil et Cité Pelé

Mwen demanti tout infomasyon qui vle fè kwè gen guè nan Site Soley. Mwen pase jounen samedi 3 novamb nan nan Site Soley, mwen vizite katyé aprè katye, pa gen yon peta ki manke soufle e mwen te konfotab an dedan ak yo tout an dedan.  Gen yon konfrontasyon  antre BAZ nan Site Pele, nou pa dwe konfon’n Site Sole yak Site Pele.

Komin nan se Site Soley, men gen katye Site Soley ak Katye Simon Pele

jeudi 25 octobre 2012

Un kidnappeur de la bourgeoisie arrêté : Clifford Brandt !

...Par Mona PéralteIl y a belle lurette 
on accusait les gens des quartiers populaires particulièrement ceux du pauvre bidonville de Cité Soleil d'être les principaux kidnappeurs zenglendos, déstabilisateurs de la paix publique. Mais comme un coup d'éclair dans un ciel serein, l'arrestation de l'homme d'affaires, du gros bourgeois Clifford Brandt est venu jeter un éclairage instructif et révélateur de pratiques considérées jusqu'ici, dans divers milieux, comme l'apanage des jeunes des quartiers populaires.
En effet le lundi 22 octobre, au cours d'une opération de la police nationale à Delmas 2, on a finalement réussi à mettre la main sur un des grands manitous d'une organisation criminelle de kidnappeurs, un chef de gang en fait, qui a fait dans l'ombre énormément de mal et causé de douloureux deuils à nombre d'Haïtiens tant au pays qu'en diaspora. Il s'agit de Clifford Brandt, un membre influent et connu de la grande bourgeoisie haïtienne dont la famille est propriétaire notamment de la Compagnie haïtienne de moteurs S.A. Il opère dans le secteur bancaire et de l'industrie alimentaire, et est sans conteste un homme d'affaires. Il est inculpé dans le kidnapping sur la route de Bourdon depuis le lundi 16 octobre dernier, de deux jeunes compatriotes du nom de Coralie et Nicolas Moscoso, âgés de 23 et 24 ans, enfants d'un autre membre de la bourgeoisie.
Selon le porte parole de la police Frantz Lerebours, Clifford n'a pas démenti sa participation active dans le groupe de gangsters qui avait enlevé les jeunes de la famille Moscoso.
Par ailleurs, le secrétaire d'Etat à la Sécurité publique Réginald Delva a signalé que « Des hauts gradés de la police et d'anciens policiers, dont l'ex-inspecteur Edner Comé, activement recherché, font partie de ce puissant réseau de malfaiteurs qui opérait sur tout le territoire national » Il ajouta que c'est Clifford Brandt qui a révélé que Coralie et Nicolas Moscoso ont été détenus à Pernier.
Selon le responsable de la cellule anti-enlèvement de la police François Henri Dossou, c'est « après un interrogatoire de plusieurs heures, [que] Clifford Brandt est passé aux aveux avant de nous avoir conduit le mardi aux environs de 3 heures du matin sur les lieux de séquestration, et nous avons donc libéré les otages » pour lesquels « Le réseau avait exigé 2, 5 millions de dollars comme rançon pour les libérer», a pour sa part fait savoir Reginald Delva.
Rappelons que ce n'est pas la première fois que cette famille a des démêlés judiciaires dans le pays. Fritz Brandt et son fils David avaient passé plusieurs mois au Pénitencier national en 2007, pour avoir été accusés de contrebande dans une affaire de faux bordereaux de dédouanement de voitures.
L'arrestation de Clifford Brandt : une affaire politiquement et judiciairement très sensible à suivre.

mardi 23 octobre 2012

Haïti/Kidnapping : Arrestation ce lundi de l’homme d’Affaires Clifford Brandt


La police a procédé très tôt lundi matin 22 octobre 2012 à l’arrestation de l’homme d’Affaires Clifford Brandt, dans le cadre d’une importante opération menée à Delmas 2 qui visait à démanteler un puissant réseau de gang spécialisé dans le kidnapping.

L’opération débutée depuis dimanche a permis la libération de plusieurs otages dont deux enfants, Coralie et Nicolas Moscosso, enlevés le 16 octobre dernier dans la soirée, sur la route de Bourdon, a informé le Secrétaire d’Etat à la Sécurité publique.
Selon Réginald Delva, le présumé Kidnappeur est passé aux aveux reconnaissant le rôle qu’il a joué dans ces enlèvements.
Des documents y compris une liste de personnalités à enlever au cours de cette fin d’année ont été retrouvés sur les lieux de l’opération.
Des hauts gradés de la police et d’anciens policiers dont l’ex-inspecteur Edner Comé activement recherché, font partie de ce puissant réseau de malfaiteurs qui opérait sur tout le territoire national, a indiqué Réginald Delva.
Cette opération planifiée au plus haut niveau de l’Etat, a bénéficié de la collaboration d’anciens otages, a précisé Réginald Delva, ajoutant que les kidnappeurs avaient pour objectif également de déstabiliser le pays dans les jours à venir

Des sénateurs annulent une rencontre avec Michaelle Jean en raison de son discours juge trop partisan


Diaspora
Publié le mardi 23 octobre 2012 11:19

michaelle-jean
Le "Congrès de la Diaspora" haïtienne réunit des partenaires importants au siège de l'OÉA, mais pas la grande foule, en raison de divergences liées à son mode d'organisation: des sénateurs annulent une rencontre avec Michaelle Jean en raison de son discours juge trop partisan

Des représentants du Gouvernement haïtien et d'autres personnalités sont intervenus au Congrès de la diaspora haitienne, qui s'est déroulé le week-end dernier à Washington, sous le thème "Unis pour des Résultats". Parmi eux, le Ministre de la Diaspora, Daniel Supplice, le Président du Sénat, Simon Desras, l'ancienne Gouverneure générale du Canada et envoyée spéciale de l'UNESCO pour Haïti, Michaëlle Jean, ainsi que des membres de missions diplomatiques.
Des membres du bureau du Sénat qui ont pris part à cette reunion au siège de l'OEA, ont annulé une rencontre avec l'ancienne gouverneure du Canada, en raison de son discours jugé trop partisan, et trop en faveur de l'exécutif haïtien.
Michaelle Jean, la personnalité d'origine haïtienne ayant atteint le plus haut niveau dans la vie publique d'un pays d'accueil des expatriés haïtiens, a en effet exhorté les participants au congrès, à l'Unité pour la reconstruction d'Haïti, tout en soulignant des éléments de blocage de la situation socio politique locale. "S'il faut des critiques pour inciter l'exécutif à faire le bilan de ses actions, il faut quand même le laisser travailler », a lancé l'ancienne gouverneure, rendant implicitement les parlementaires et d'autres secteurs responsales de la détéroration de la situation politique en Haïti, notamment dans le dossier de la formation du conseil electoral devant organiser les prochaines élections.
Mme Jean a ensuite vanté les efforts déployés par le président Martelly pour retirer des tentes les victimes du tremblement de terre et ses qualités d'excellent communicateur pour dialoguer avec la population, se référant à une visite qu'elle a effectuée a Morne a cabris en compagnie du Chef de l'État.
Deux des sénateurs présents ont alors pris la parole pour expliquer que leur position se base sur des principes constitutionnels. Andris Riché a pris le contrepied des propos de Michaelle Jean, expliquant que la loi mère du pays stipule les conditions de participation du parlement au Conseil Électoral Permanent.
Selon le parlementaire, les conditions ne sont pas réunies pour monter actuellement ledit conseil et recommande la création d'un conseil électoral conjoncturel.
Par ailleurs, il a souligné que la vaste propagande qui se fait en faveur du gouvernement haïtien dans certains medias haïtiens s'est poursuivi au congrès de la diaspora, référence à peine voilée aux propos de l' ancienne gouverneure et du Secrétaire général de l' OEA qui a tenté, a-t-il dit de faire croire que le gouvernement Martelly-Lamothe est « performant ».
De son côté, le senateur Steven Benoit a relevé "des dérives graves" a travers des faits concrets commis ou ordonnés, a-t-il dit, par le président de la République qui ont envenimé la situation politique du pays. Le président de l' Assemblée Nationale Simon Dieuseul Desras qui était a la tête de cette delegation a plaidé pour sa part en faveur de rapports plus transparents entre les pouvoirs de l' État.
L'Ambassadeur Albert Ramdin, en sa qualité de Secrétaire général adjoint de l'Organisation des États Américains et Président du Groupe des Amis d'Haïti et du Groupe de travail sur Haïti, a qualifié de franches et fructueuses les discussions du Congrès.
« La Diaspora est très clairement engagée pour le progrès en Haïti, indépendamment des affinités politiques. Des inquiétudes ont été exprimées concernant le délai de la mise en oeuvre du Conseil Électoral Permanent, les retards dans la tenue des élections sénatoriales partielles, et le besoin de stabilité politique » a déclaré Ramdin.
« Ce sont des questions qui devraient être résolues le plus vite possible afin que nous puissions continuer sur la voie de la stabilité, du progrès et du développement », a-t-il ajouté.
Beaucoup ont relevé que 2e congrès de la diaspora n'a pas réuni la grande foule quoique organisé avec l'appui de l'OEA et de plusieurs pays comme les États Unis, la France, le Canada et l'Espagne.
Des malaises graves entre les responsables de son organisation et divers leaders des communautés de l'extérieur ont obligé à mettre dans l' agenda une session finale inter-haïtienne intitulée « Rebat kat la » (rebattre les cartes) sous la direction de l'actuel titulaire du Ministère des Haïtiens Vivant à l' Étranger Daniel Supplice, et de deux de ses prédécesseurs, Alix Baptiste et Edwin Paraison.
Les discussions ont tourné autour d'une restructuration de la Fédération de la diaspora haïtienne dont les actuels dirigeants cantonnés aux États Unis sont pointés du doigt par des représentants d'autres régions du monde pour leur "désintérêt dans l'inclusion de tous, et d'une gestion transparente de l' organisation appelée à contribuer à la coordination des actions des expatriés haïtiens en faveur de la mère-patrie.
Source: AHP

lundi 15 octobre 2012

Le portrait de peuple fragmenté que nous projetons à nos voisins nous desservis.

La faiblesse de nos institutions ouvre des portes à des innombrables humiliations de toute part, nous ne pouvons et n'avons pas le droit de garder le silence à ses répétitifs d'actes de banditismes sur nos patriotes, aller voir sur nos figures, qui représentent notre pays, Ministre Daniel Supplice, aujourd'hui le Député Jean Tholbert Alexis.

Le portrait de peuple fragmenté que nous projetons à nos voisins nous desservis.

Nous avons négligé nos institutions étatiques et renforcer une institution parallèle la machine de la division entre nous.

Peuple d'Haïti,  nous, nous détruisons à pleine dents, quelle défaillance.

Sommes-nous en train de singer? Ou sont passés nos hommes et nos femmes d'état.

C'est à hurler de colère, le constat de la chute de la République d'Haïti, jadis si fière.

IL EST PLUS QUE TEMPS DE NOUS RÉVEILLER
NOUS AVONS UN PAYS À SAUVER.

Patriotiquement Nyrvah Florens Bruno


Yo atake Depite ya sakaje'l, volè tout sa li te gen sou yo, pran kle machin li, lague yo pye à tè. Li te akonpagne de madanm li ak 2 pitit li yo. Mwen kwèe danble se imaj nou ap pwojte yo tou patou nan mond lan ki fè nou pa gen respè konsa. yo konnen ki es yo atake, men sa pa chanje anye, paske fok Depite ya di se Depite li ye, men aprè....

Si nou pa ke respekte tèt nou antre nou, nou paka mande pou deyo respekte nou

samedi 13 octobre 2012

Soyons des citoyens soldats et veillons à la stabilité du pays


Nous sommes consternés par tous les déboires que vivent le pays, nous rêvons à une Haïti unie et prospère, une Haïti forte institutionnellement   qui répond  enfin,  aux besoins des concitoyens. (Tout moun ladan)  


Nous n’avons pas de temps à perdre, nous ne pouvons pas nous permettre d’avancer encore une fois de plus, vers la force obscure de la déchéance.

Nous devons  penser pays,  dans le contexte nationaliste et patriotique. Nous sommes fatigués de constater l’ingérence de l’étranger dans notre cuisine, cause de notre division.

 Je vous convie de faire un ultime effort sur vous-même et de placer Haïti à sa place, Haïti d’abord.  L’échec ou le progrès  d’Haïti est notre. Soyons des citoyens soldats et veillons à la stabilité du pays tout en appliquant des garde-fous pour la sauvegarde de ce qu’il nous reste des institutions de notre pays.  Haïti d’abord

Patriotiquement Nyrvah Florens Bruno

TET KALE TET KOLE NOU TOUT LADAN, NOU TOUT SE AYISYEN 

vendredi 12 octobre 2012

Commémorons la bataille de vertières, avec la participation d’une pléiade d’artistes.



Fondation Augustin Bruno, 

Un pas pour l’éducation en Haïti

Commémorons la bataille de vertières, 
avec la participation d’une pléiade d’artistes. 

 Le 18 novembre 2012 à l’école Galaxie Lilavois 5


INFO: 509 3821 4693

mardi 9 octobre 2012

Ayiti se zafè nou tout li ye e se ansam nou ka sove l.



Si nou renmen peyi nou vrèman, se premye plas nou dwe bali. Nan tout lot peyi, kote ki gen moun, kote ki gen elit, kote ki gen moun ki ap panse peyi, nou pap janm  ka wè debandad konsa, ap brase,  tout trip yon popilasyion . 
Se pa Ayiti ki modi, jan anpil moun panse l la, Se nou ki ensanse, ki apatrid, ki aferis,  ki refize peyi ya fè yon pa nago yon pa kita, sans kolektivite ya pa antre nan moralite pou nou menm.
Nou ap bwase yon peyi jis pou frape ego nou, zafè si popilasyion an, ozabwa, mal de parèt nou an pi fô ke tout yon peyi. Se nan repiblik de banana sèlman ou ka temwen de pouriti konsa.  Demokrasi pa nou an se zouti pou nou maspinen popilasyion an, sèvi avek mank de savwa li, pou nou fè kapital sou do li. Si sete peyi nou te wè, nou tap rasanble nou dèyè prezidan peyi ya, ankadre politik li yo e travay pou yo ateri kom sa dwa, men se batay nou ap batay anpeche li arive konstwi anyen pandan yon popilasyion ap vejete, ban-n san konsians. 
Se avek degou e mepri pou ap gade yon Senatè de yon Repiblik devan yon popîlasyion ke lap ensite vè la violans, sa’a li dwe rantre nan liv rekô  guiness. Komèsan ki ap monte pri manje sou soulve pèp, politisyien ki gen gang kriminèl kom zouti pou ateri politik aferis yo, a la wè pou ti peyi sa wè, a la zantray ki pou kôde avan soley leve sou malere,  politik a la traka pou ti peyi sa’a.
 Ayiti, chak paj nan liv istwa l, pi sal yon aprè lot. Konbyen zantray ki pou kôde, konbyen san ki pou koule, konbyen kadav pou yo konte, konbyen jenerasyon ki pou pèdi avan soley leve sou Ayiti.
Si nou tap pran ekzanp sou lot peyi ki ap mache, nou ta konpran se tèt ansam sèlman  ki pou soti peyi nou nan labou. Nou pati nou wè, nou wè e nou konnen koman yon peyi dwe mache, se pa yon sèl moun ki ka mennen yon peyi, se nou tout ki dwe mete nou ansam, nan lanmou pou peyi ya e nan tolerans yon pou lot, sèl objektif la dwe peyi ya.
 Nou mechan,  wi nou mechan , nou mechan, nou pa gen mizerikod, nou ap byen viv e nou ap goumen ak tout fôs nou pou bare chemen pou popilasyon an vanse. Lè yon manman ou byen yon papa gen pitit li ki couche malad se chemen gerizon yo chache pou bay ti moun nan la vi,  se pa goumen yo goumen sou ki medikamen pou pitit la pran pandan li an agoni, se tèt ansam yo mete pou yo sovel. Gade nou byen, gade nou nan mirwa, ki sa nou ap fè la kounye ya, pandan pitit nou an ap peri
Déjà nou touye papa endepandans lan,  Dessalines, ki te ban ou bout tè sa’a, ke nou aplike nou kraze'l, demoli'l ak dan nou.  Nou vil, nou pa gen anyen nan trip nou. Mwen ap di'l e mwen pap bouke repete'l,  demokrasi ke popilasyon an bezwen pou li viv byen nan eta de dwa e nan respè yon pou lot la, li pap ka etabli tan e o si lontan,  ke edikasyion popilasyion pa fèt  komanse nan  tèt rive anba.
 Koman pou yon Senatè nan yon micro yon radyo,  fè ap pale de Prezidan'l, e l'ap trete l de moun fou, pou li pa resevwa yon manda pou difamasyon e y'ap pale de demokrasi. Yo ap pale de yon bagay ke yo pa menm konnen fos li menm, oubyen demokrasi ya, li pou lot yo, pa pou yo menm. Ignorans  ak prejije soti pou kraze peyi ya.
ASE! Se kri  abitan nan môn yo, sa yo kite, nan aryè peyi ya, ki san dlo, san kouran,  san swen santé,  ki di ase peyi ya pap kraze.
Ayiti se zafè nou tout li ye e se ansanm nou ka sove'l.



Patriotikman Nyrvah Florens Bruno