| Dernière mise à jour: 19 décembre 2010 - 03:36:44 |
| Haïti - Elections 2010: Les gens veulent des réponses / R par Joel Deeb Par 18 décembre 2010, 23:59 |
Haïti - Elections 2010: Les gens veulent des réponses
par
Deeb R Joel, chef de la direction
Nouvelles du monde Omega
17 décembre 2010
Le dimanche, Novembre 28, 2010, quelque chose a terriblement mal tourné en Haïti. Même les Haïtiens, habitué aux mascarades électorales, se souviendra de ce jour-là pour les élections qui n'étaient pas. Le Conseil électoral provisoire haïtien, fidèle exécuteur du président René Préval forte volonté , ainsi que des représentants de l'Organisation des États américains, a noté quelques irrégularités dans des cas isolés, ils ont dit, qui n'ont pas pu fausser les résultats. L'OEA n'a pas trouvé de raison de modifier, même pas avec une nouvelle nuance et de minuscules, de la instruction préparée ils se nourrissent habituellement les Haïtiens et le monde dans des circonstances similaires, pour les vingt dernières années. C'est la même chanson ancienne, réalisée par le gourmand fatigué imitateur Haïtiens et même si bien connaître, et trouver tellement prévisible.Mais, après avoir examiné les lieux du crime sous tous les angles possibles dans l'offre importante de vidéos et de photos encore disponible sur l'Internet, des journalistes professionnels des médias et les téléphones-appareils photo des citoyens ordinaires, dont beaucoup tenté sans succès d'exercer leurs droits civils de vote, l'opinion publique internationale pria de différer de l'OEA. Surtout dans les pays avec une longue tradition et robuste de la démocratie représentative - les États-Unis d'Amérique, Canada, France, Allemagne, et d'autres pays de l'Union européenne, pour n'en nommer que quelques-uns - l'opinion publique ont dit avoir vu une farce électorale. Certains, politiquement plus instruits et expérimentés, l'a appelé un coup d'Etat électoral. N'était-ce pas?
Haïtiens partout vu non seulement le désordre, mais un chaos total, le chaos et, oui, un coup d'Etat électoral exécuté mal d'Etat, mis en scène par la dictature de type soviétique de René Préval qui a forcé son chemin à la présidence en 2006 de manière créative à compter bulletins blancs, en violation flagrante de la loi électorale promulguée par le Conseil électoral très, dirigé par M. Jacques Bernard, qui était censé faire respecter sa propre loi. Le chaos a été prévu de priver les électeurs assez courageux pour essayer d'exercer leurs droits civiques par la queue pour voter. La menace de la violence a cherché à les intimider en restant à la maison. Et, en refusant l'accès aux représentants légaux des candidats sur les lieux de vote visait à éliminer les regards indiscrets. Tout était en place, le Président Préval fidèles Conseil électoral provisoire cru, à voler encore une autre élection pour leur peuple de gouvernement officiel du parti politique, Inite (l'unité).
Mais, dans une rare manifestation d'unité, l'opposition politique ont crié au scandale, et a demandé à midi que le soi-disant "élections" opérations être stoppée, et de toute collection de manigances jour de la - ou quel que soit jeûner un conseil électoral tentait de pull - annulé sans autre. ADO être Sur ce, a commencé à démêler ce qui peut bien être appelé un complot contre le peuple d'Haïti. Ainsi, quand une semaine plus tard, le Conseil électoral ont annoncé leur impudence jusqu'à résultats cuit qui vise à préparer l' nation pour le fonctionnaire in extremis la victoire de la version "officielle" candidat à la présidentielle, le pays a éclaté en de violentes manifestations qui ont eu lieu pendant des jours. Politiquement Haïtiens savvy croire que la violence aurait pu être bien pire, ce n'était pas pour une déclaration en temps opportun par l'ambassade des États-Unis invitant le Conseil électoral de respecter le vote du peuple d'Haïti. Comme d'autres missions diplomatiques ont commencé à suivre des Etats-Unis Ambassade diriger le, il était clair que, en mettant pays l'appui de son pour la liberté et les droits civils carrément derrière les gens de la détermination de Haïti à choisir leurs propres dirigeants dans, équitable et crédible des élections libres, l'ambassadeur américain Kenneth Merten venait de démontrer un leadership responsable dans un pays qui n'en a pas.
Au moment où j'écris ces lignes, le peuple d'Haïti attendent le Président Préval et son subordonné Conseil électoral provisoire à continuer à imposer leur coup d'Etat électoral sur la société haïtienne. Il ya aussi pas un secret que cette insouciance politique, cela déclencherait une insurrection générale immédiate de la violence sans précédent depuis la guerre d'indépendance Haïti. Alors, est-il une issue pacifique?
La réponse est un oui retentissant. Et, ici, sont des éléments de la nécessaire solution politique beaucoup plus:
1. Ce que le conseil électoral appelle les "élections" du 28 Novembre 2010, en Haïti, doit être annulée.
2. Le discrédité le Conseil électoral provisoire doit être dissous.
3. Le gouvernement du Premier ministre Jean Max Bellerive doit être tenu responsable pour la prise d'une nation fragile dans cette politique abîme évitables.
4. Une national mixte et international Élections Commission de révision doit être établie, avec des experts électoraux recrutés dans des pays avec une solide et longue expérience dans la démocratie représentative, et co-présidé par Haïti et les États-Unis d'Amérique, faire enquête et rapport sur les événements du 28 Novembre 2010, en Haïti, y compris le processus menant à ce jour fatidique, ainsi que les circonstances qui domine le décompte des voix. Dans cette commission mixte, Haïti devrait être représentée par des organisations nationales de bonne réputation de la société civile, notamment par l'expérience des élections en Haïti moniteurs, organisations des droits humains, le secteur des entreprises, et un représentant d'une coalition interreligieuse.
5. Le conseil d'administration doit être établi pour assurer la continuité du gouvernement, et de prendre la nation à de nouvelles élections qui seront reconnues comme justes, honnêtes, transparentes et crédibles libre.
Les événements du 28 Novembre 2010, en Haïti, y compris le décompte des voix dans les élections des opérations de post, ne sont pas réparables. Pour les Haïtiens de croire qu'un avenir meilleur espoir et plus est l'avenir de leur nation, ils doivent trouver des solutions pratiques à la matrice des problèmes laissés par deux catastrophes naturelles et deux catastrophes d'origine humaine ont subi cette année seulement. Pour le mess-ci a introduit sur eux par leur propre gouvernement, ils veulent des réponses qui leur permettront de faire une rupture avec le passé récent, et recommencer leurs efforts pour atteindre les perdus espère près de Février 1986 qui, eux aussi, peuvent "vivre dans une société libre et créer de la richesse inimaginable comme prévu par leurs ancêtres pays», pour citer mon bon ami et collègue, économiste et professeur Parnell Duverger.
Pour faire de tels espoirs réels, il n'ya pas de meilleur moment que maintenant ..
Joel Deeb R.
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