vendredi 13 novembre 2015

Jeune, crime, impunité, politique en Haïti un cas particulier.


Jeune âge,  petit, nouveau,  on donnera tout adjectif aux jeunes qui tendent vers l'âge adulte. il faut écarter toute thèse,  qui tend à faire croire que nos jeunes criminels ont l'âge mental qui leur est voué.

Par conséquent l'évaluation psychique d'un jeune criminel,  est fondamentalement, il ne faut pas simplement  tenir compte de leur faible âgé, mais plutôt de leur degré d'imprégnation du secteur criminel.
Pour reprendre le vieil adage,  <<le génie n'attend pas, le nombre des années>.  La jeunesse est synonyme naïveté, de manque d'expérience,  un cerveau en apprentissage. Tout ceci est très vrai quand il rentre dans un processus normal  à la formation d'un adulte


La socialisation joue un rôle important dans la formation de chaque individu et chaque individu projette le reflet de son environnement. L'endoctrinement n'est pas une simple affaire dans le cerveau d'un enfant. Il est plus facile d'insérer des adultes qui sont devenus des criminels que des enfants qui ne connaissent que le crime.



Attention ! Le corps est jeune, le mental par conséquent est bien approprié du crime et cela s'avère qu'un enfant est encore,  plus dangereux que l'adulte devenu criminel, car il n'y a que cette notion imprégnée, qui traduit cette jeune créature, CRIME.



L'enfant criminel s'exhibe comme un grand au milieu des adultes criminels et est près de démontrer sa capacité dans la terreur et ainsi gagner le respect des ainés, il défit tout danger, sa préoccupation est de devenir vite, le meneur d'un groupe.



La fin justifiera les moyens.



Que deviendra Haïti dans une vingtaine d'années



L'impunité renforce l'agissement du secteur criminel, Outils de pour bon nombre de politiciens véreux, ce secteur s'intensifie de plus en plus et tend à prendre forme, d'un état dans un état.

Il faut mettre court à un des grands mangeurs d'hommes, ce nerf de la guerre qu'est le pluriel des partis politiques, afin d'arriver à contrôler le pays.
Tout est politique.


Il faudrait revoir la constitution et remettre une fois des balises nécessaires pour finir avec cette question plurielle, de Parti politique.

Ce faisant, cela réglera une bonne partie de nos difficultés et donnera une certaine stabilité au pays au fur et à mesure.


Que les partis s'organisent à se regrouper : (REPUBLICAIN, DEMOCRATE ET NASIONALISTE)    

La déchéance de la société haïtienne, cette maudite division, cette lutte intestinale  ont racine que de la politique, il est grand temps de mettre bon ordre.


Les enfants sont l'espoir de notre pays, de quelle jeunesse qu'on parle ?



Les questions des meneurs d'Haïti, au plus grand nombre ou aux plus capables, seraient-elles encore au rendez-vous, dans les  50 ans à venir ?



Toute la question est là.



Le savoir  d’un dirigeant est obligatoire, pour le bien-être de la collectivité, il faut la stabilité politique au pays, afin que tous les citoyens puissent avoir les mêmes chances  de réussite.



Nyrvah Florens Bruno,

Coordonnatrice Générale
Solda Ayiti Ayiti Solda

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