Il faut prier et espérer que Dieu, vienne Haïti en aide, s'il n'est pas trop en colère contre nous. Une chance je ne suis pas une divinité, car à sa place j'aurai frappé de tonnerre tous les malfrats, les opportunistes, les apatrides enfin ceux et celles qui entravent l'essor de notre pays. Je suis écoeurée.
Qu'avons-nous fait pour hériter de cette misère de ce vide qui nous enfonce de plus en plus dans ses couloirs de plus en plus ténébreux. Je refuse de m'en lisser dans des idéaux de contrat diabolique avec le diable, le prix de la liberté des nègres d'Haïti.
Mais diable pourquoi sommes-nous voilés au pont de ne pas comprendre que nous sommes dans un même bateau, le naufrage sera notre.
Pourquoi jouer avec l'avenir de tout un peuple, pourquoi?
Si diable vous êtes, vous prenez plaisir aux souffrances et à la terreur de l'homme, ouvrez donc la fenêtre qui jaillit la lumière et enfin regarder la beauté de cette terre qui implore miséricorde. Tout un peuple à genou à la merci d'un toit, du pain et de l'éducation depuis trop longtemps pour sourire avec l'espoir.
Les séquelles de l’esclavagiste auraient-elles flambée notre âme sur des générations. Peut-on croire par souci de survie on s'est dépouillé de tout attachement à l'unité collective et serait ce fardeau qui nous impose en adversaire encore aujourd'hui frère contre frère.
Nous sommes si bien ancrer dans notre moi, nous n'arrivons pas entendre la voix de nos compatriote qui crie au secours et encore on se pavane comme un trophée notre réussite comme pour marquer la différence que jadis on subissait des colonisateurs, nos guerriers. A-t-on jamais été un peuple, une nation, le tout, qui forme UN.
De toute notre histoire de peuple il n'y a eu que division et préjugé sur un lopin de terre de 27 750 km2 nous avons bâti des sociétés en cascades basée sur l'ignorance, une voie destructive qui résonne au son éloquent du tambour aux tympans, qui circule de génération en génération quel triste sort pour un petit peuple qui vient de loin enchainer, rendu esclave qui aujourd'hui se dresse en maitre, pour ses ferres.
Ce n'est point les grandes infrastructures qui sauvera notre pays, c'est nous, le jour où l'ont-aurais compris nous sommes frères nos intérêts sont communs et c'est qu'ensemble qu'Haïti naitra
Nyrvah Florens Bruno
Qu'avons-nous fait pour hériter de cette misère de ce vide qui nous enfonce de plus en plus dans ses couloirs de plus en plus ténébreux. Je refuse de m'en lisser dans des idéaux de contrat diabolique avec le diable, le prix de la liberté des nègres d'Haïti.
Mais diable pourquoi sommes-nous voilés au pont de ne pas comprendre que nous sommes dans un même bateau, le naufrage sera notre.
Pourquoi jouer avec l'avenir de tout un peuple, pourquoi?
Si diable vous êtes, vous prenez plaisir aux souffrances et à la terreur de l'homme, ouvrez donc la fenêtre qui jaillit la lumière et enfin regarder la beauté de cette terre qui implore miséricorde. Tout un peuple à genou à la merci d'un toit, du pain et de l'éducation depuis trop longtemps pour sourire avec l'espoir.
Les séquelles de l’esclavagiste auraient-elles flambée notre âme sur des générations. Peut-on croire par souci de survie on s'est dépouillé de tout attachement à l'unité collective et serait ce fardeau qui nous impose en adversaire encore aujourd'hui frère contre frère.
Nous sommes si bien ancrer dans notre moi, nous n'arrivons pas entendre la voix de nos compatriote qui crie au secours et encore on se pavane comme un trophée notre réussite comme pour marquer la différence que jadis on subissait des colonisateurs, nos guerriers. A-t-on jamais été un peuple, une nation, le tout, qui forme UN.
De toute notre histoire de peuple il n'y a eu que division et préjugé sur un lopin de terre de 27 750 km2 nous avons bâti des sociétés en cascades basée sur l'ignorance, une voie destructive qui résonne au son éloquent du tambour aux tympans, qui circule de génération en génération quel triste sort pour un petit peuple qui vient de loin enchainer, rendu esclave qui aujourd'hui se dresse en maitre, pour ses ferres.
Ce n'est point les grandes infrastructures qui sauvera notre pays, c'est nous, le jour où l'ont-aurais compris nous sommes frères nos intérêts sont communs et c'est qu'ensemble qu'Haïti naitra
Nyrvah Florens Bruno
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