Aujourd’hui
plus que jamais, nous avons un Chef d’État,Son Excellence Michel Joseph
Martelly, accompagné de son Premier Ministre Laurent Salvador Lamothe, qui impose le
changement réel pour une Haïti moderne.
Le
changement qu’ils préconisent effraie, car les ténors de trouble n’auront pas d’outils
nécessaires pour manipuler la masse populaire à leur gré.
Depuis la création de notre état-nation, il n’y a jamais eu de programme
de développement durable, les acteurs se sont contentés à saupoudrer l’œil de
la société, rien de fondamentalement axé
sur une vision à long terme.
Haïti
est en chantier et l’administration haïtienne se modernise
En général la machine administrative
de l’État haïtien est une machine à sous pour les tenants du pouvoir. Il n’est
pas singulier de voir, un chef d’État gravi le pouvoir sans
un sou et de quelques mois il est richissime.
Ceci
est possible parce que la faiblesse des institutions et l’incapacité des agents
le favorisent.
Le phénomène militantisme en Haïti
a pris son essor depuis la chute des
Duvalier.
Le militantisme
a pris en otage l’administration, un véritable coup de massue pour cette
institution, un dysfonctionnement quasi total. Des administrateurs répondent à
l’engagement que par leur militance, non de leur savoir en général.
La démocratie est une démarche,
qui trouve ses empruntes dans des structures modernes et transparentes. La création
de la structure moderne administrative que préconise le gouvernement
Martelly-Lamothe est la base d’une nouvelle Haïti émergente.
IL y
a des pré requis pour asseoir de la démocratie en Haïti : L’éducation de la population par
la sensibilisation et la compréhension des règles démocratiques; la
socialisation des enfants par leurs instituteurs.
Un
gouvernement responsable doit veiller à ce que ses citoyens aient la possibilité d’avoir des nécessités premières comme :
Éducation; santé; eau; logement et
favoriser la croissance économique par une politique d’accompagnement à la création des PME; Etc. Le gouvernement
Martelly-Lamothe, mais l’emphase sur ses
priorités.
La
création d’un l’état responsable en Haïti est un chemin long et difficile. Vu,
l’état psychique de la population il faut une conscientisation nationale de
tous les secteurs afin de sauver la génération actuelle. Nous sommes en face d’une
conjoncture qui facilite l’obscurantisme.
1.
l’absence des élites;
2.
la mise on otage de la
population par des analphabètes fonctionnels;
3.
La course des
traditionnels politiciens, qui se servent de l’ignorance de la population, est autant d’obstacles qui l’atrophie Haïti.
La
disparité sociale depuis la colonie est le point culminant de
toutes les cassures de la société haïtienne.
L’Occident est imbu des
faiblesses, qui font embuche au développement d’Haïti. Les grands ouvrages haïtiens
sont dans des bibliothèques en Europe et en Amériques.
Tous
les pays qui jouissent de la démocratie aujourd’hui,
savent qu’il y a un processus à suivre pour arriver à cette finalité.
Le
peuple noir colonisé est plus assujetti à des bouleversent de sociétés, du fait
que les séquelles coloniales sont très fortement
empeignées dans leur être. Il est normal
que la population soit si réfractaire au changement il y a un passé de colonisé qui la hante.
Si l’on
tient compte des atrocités qui ont marqué ce peuple, on comprendra qu’il est plus
apte de se rebeller qu’à s’unir. Tout ceci relève du subconscient
Nous haïtiens,
nous devons de nous-mêmes, trouver des
solutions haïtiennes, mais la première des choses que nous devons faire, c’est
de nous débarrasser du colon qui dort en nous.
Nyrvah Florens Bruno,
Coordonnateur
du mouvement social Solda Ayiti Ayiti Solda
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire