jeudi 25 octobre 2012
mardi 23 octobre 2012
Haïti/Kidnapping : Arrestation ce lundi de l’homme d’Affaires Clifford Brandt
La police a procédé très tôt lundi matin 22 octobre 2012 à l’arrestation de l’homme d’Affaires Clifford Brandt, dans le cadre d’une importante opération menée à Delmas 2 qui visait à démanteler un puissant réseau de gang spécialisé dans le kidnapping.
L’opération débutée depuis dimanche a permis la libération de plusieurs otages dont deux enfants, Coralie et Nicolas Moscosso, enlevés le 16 octobre dernier dans la soirée, sur la route de Bourdon, a informé le Secrétaire d’Etat à la Sécurité publique.
Selon Réginald Delva, le présumé Kidnappeur est passé aux aveux reconnaissant le rôle qu’il a joué dans ces enlèvements.
Des documents y compris une liste de personnalités à enlever au cours de cette fin d’année ont été retrouvés sur les lieux de l’opération.
Des hauts gradés de la police et d’anciens policiers dont l’ex-inspecteur Edner Comé activement recherché, font partie de ce puissant réseau de malfaiteurs qui opérait sur tout le territoire national, a indiqué Réginald Delva.
Cette opération planifiée au plus haut niveau de l’Etat, a bénéficié de la collaboration d’anciens otages, a précisé Réginald Delva, ajoutant que les kidnappeurs avaient pour objectif également de déstabiliser le pays dans les jours à venir
Des sénateurs annulent une rencontre avec Michaelle Jean en raison de son discours juge trop partisan
Diaspora Publié le mardi 23 octobre 2012 11:19
Le "Congrès de la Diaspora" haïtienne réunit des partenaires importants au siège de l'OÉA, mais pas la grande foule, en raison de divergences liées à son mode d'organisation: des sénateurs annulent une rencontre avec Michaelle Jean en raison de son discours juge trop partisan
Des représentants du Gouvernement haïtien et d'autres personnalités sont intervenus au Congrès de la diaspora haitienne, qui s'est déroulé le week-end dernier à Washington, sous le thème "Unis pour des Résultats". Parmi eux, le Ministre de la Diaspora, Daniel Supplice, le Président du Sénat, Simon Desras, l'ancienne Gouverneure générale du Canada et envoyée spéciale de l'UNESCO pour Haïti, Michaëlle Jean, ainsi que des membres de missions diplomatiques.
Des membres du bureau du Sénat qui ont pris part à cette reunion au siège de l'OEA, ont annulé une rencontre avec l'ancienne gouverneure du Canada, en raison de son discours jugé trop partisan, et trop en faveur de l'exécutif haïtien.
Michaelle Jean, la personnalité d'origine haïtienne ayant atteint le plus haut niveau dans la vie publique d'un pays d'accueil des expatriés haïtiens, a en effet exhorté les participants au congrès, à l'Unité pour la reconstruction d'Haïti, tout en soulignant des éléments de blocage de la situation socio politique locale. "S'il faut des critiques pour inciter l'exécutif à faire le bilan de ses actions, il faut quand même le laisser travailler », a lancé l'ancienne gouverneure, rendant implicitement les parlementaires et d'autres secteurs responsales de la détéroration de la situation politique en Haïti, notamment dans le dossier de la formation du conseil electoral devant organiser les prochaines élections.
Mme Jean a ensuite vanté les efforts déployés par le président Martelly pour retirer des tentes les victimes du tremblement de terre et ses qualités d'excellent communicateur pour dialoguer avec la population, se référant à une visite qu'elle a effectuée a Morne a cabris en compagnie du Chef de l'État.
Deux des sénateurs présents ont alors pris la parole pour expliquer que leur position se base sur des principes constitutionnels. Andris Riché a pris le contrepied des propos de Michaelle Jean, expliquant que la loi mère du pays stipule les conditions de participation du parlement au Conseil Électoral Permanent.
Selon le parlementaire, les conditions ne sont pas réunies pour monter actuellement ledit conseil et recommande la création d'un conseil électoral conjoncturel.
Par ailleurs, il a souligné que la vaste propagande qui se fait en faveur du gouvernement haïtien dans certains medias haïtiens s'est poursuivi au congrès de la diaspora, référence à peine voilée aux propos de l' ancienne gouverneure et du Secrétaire général de l' OEA qui a tenté, a-t-il dit de faire croire que le gouvernement Martelly-Lamothe est « performant ».
De son côté, le senateur Steven Benoit a relevé "des dérives graves" a travers des faits concrets commis ou ordonnés, a-t-il dit, par le président de la République qui ont envenimé la situation politique du pays. Le président de l' Assemblée Nationale Simon Dieuseul Desras qui était a la tête de cette delegation a plaidé pour sa part en faveur de rapports plus transparents entre les pouvoirs de l' État.
L'Ambassadeur Albert Ramdin, en sa qualité de Secrétaire général adjoint de l'Organisation des États Américains et Président du Groupe des Amis d'Haïti et du Groupe de travail sur Haïti, a qualifié de franches et fructueuses les discussions du Congrès.
« La Diaspora est très clairement engagée pour le progrès en Haïti, indépendamment des affinités politiques. Des inquiétudes ont été exprimées concernant le délai de la mise en oeuvre du Conseil Électoral Permanent, les retards dans la tenue des élections sénatoriales partielles, et le besoin de stabilité politique » a déclaré Ramdin.
« Ce sont des questions qui devraient être résolues le plus vite possible afin que nous puissions continuer sur la voie de la stabilité, du progrès et du développement », a-t-il ajouté.
Beaucoup ont relevé que 2e congrès de la diaspora n'a pas réuni la grande foule quoique organisé avec l'appui de l'OEA et de plusieurs pays comme les États Unis, la France, le Canada et l'Espagne.
Des malaises graves entre les responsables de son organisation et divers leaders des communautés de l'extérieur ont obligé à mettre dans l' agenda une session finale inter-haïtienne intitulée « Rebat kat la » (rebattre les cartes) sous la direction de l'actuel titulaire du Ministère des Haïtiens Vivant à l' Étranger Daniel Supplice, et de deux de ses prédécesseurs, Alix Baptiste et Edwin Paraison.
Les discussions ont tourné autour d'une restructuration de la Fédération de la diaspora haïtienne dont les actuels dirigeants cantonnés aux États Unis sont pointés du doigt par des représentants d'autres régions du monde pour leur "désintérêt dans l'inclusion de tous, et d'une gestion transparente de l' organisation appelée à contribuer à la coordination des actions des expatriés haïtiens en faveur de la mère-patrie.
Source: AHP
lundi 15 octobre 2012
Le portrait de peuple fragmenté que nous projetons à nos voisins nous desservis.
La faiblesse de nos institutions ouvre des
portes à des innombrables humiliations de toute part, nous ne pouvons et
n'avons pas le droit de garder le silence à ses répétitifs d'actes de
banditismes sur nos patriotes, aller voir sur nos figures, qui représentent
notre pays, Ministre Daniel Supplice, aujourd'hui le Député Jean Tholbert
Alexis.
Le portrait de peuple fragmenté que nous
projetons à nos voisins nous desservis.
Nous avons négligé nos institutions
étatiques et renforcer une institution parallèle la machine de la division
entre nous.
Peuple d'Haïti, nous, nous détruisons à pleine dents, quelle
défaillance.
Sommes-nous en train de singer? Ou sont passés
nos hommes et nos femmes d'état.
C'est à hurler de colère, le constat de la
chute de la République d'Haïti, jadis si fière.
IL EST PLUS QUE TEMPS DE NOUS RÉVEILLER
NOUS AVONS UN PAYS À SAUVER.
Patriotiquement Nyrvah Florens Bruno
Yo
atake Depite ya sakaje'l, volè tout sa li te gen sou yo, pran kle machin li,
lague yo pye à tè. Li te akonpagne de madanm li ak 2 pitit li yo. Mwen kwèe
danble se imaj nou ap pwojte yo tou patou nan mond lan ki fè nou pa gen respè
konsa. yo konnen ki es yo atake, men sa pa chanje anye, paske fok Depite ya di
se Depite li ye, men aprè....
Si nou pa ke respekte
tèt nou antre nou, nou paka mande pou deyo respekte nou
samedi 13 octobre 2012
Soyons des citoyens soldats et veillons à la stabilité du pays
Nous sommes consternés par tous les déboires que
vivent le pays, nous rêvons à une Haïti unie et prospère, une Haïti forte institutionnellement
qui répond enfin, aux besoins des concitoyens. (Tout moun ladan)
Nous n’avons pas de temps à perdre, nous
ne pouvons pas nous permettre d’avancer encore une fois de plus, vers la force
obscure de la déchéance.
Nous devons penser
pays, dans le contexte nationaliste et
patriotique. Nous sommes fatigués de constater l’ingérence de l’étranger dans
notre cuisine, cause de notre division.
Je vous convie de faire un ultime effort sur vous-même
et de placer Haïti à sa place, Haïti d’abord. L’échec ou le progrès d’Haïti est notre. Soyons des citoyens soldats
et veillons à la stabilité du pays tout en appliquant des garde-fous pour la
sauvegarde de ce qu’il nous reste des institutions de notre pays. Haïti d’abord
Patriotiquement Nyrvah Florens Bruno
TET KALE TET KOLE NOU TOUT LADAN, NOU TOUT SE AYISYEN
vendredi 12 octobre 2012
Commémorons la bataille de vertières, avec la participation d’une pléiade d’artistes.
Fondation
Augustin Bruno,
Un pas pour l’éducation en Haïti
Commémorons
la bataille de vertières,
avec la participation d’une pléiade d’artistes.
Le 18
novembre 2012 à l’école Galaxie Lilavois 5
INFO: 509 3821 4693
mardi 9 octobre 2012
Ayiti se zafè nou tout li ye e se ansam nou ka sove l.
Si nou renmen peyi nou vrèman,
se premye plas nou dwe bali. Nan tout lot peyi, kote ki gen moun, kote ki gen
elit, kote ki gen moun ki ap panse peyi, nou pap janm ka wè debandad konsa, ap brase, tout trip yon popilasyion .
Se pa Ayiti ki modi, jan anpil
moun panse l la, Se nou ki ensanse, ki apatrid, ki aferis, ki refize peyi ya fè yon pa nago yon pa kita,
sans kolektivite ya pa antre nan moralite pou nou menm.
Nou ap bwase yon peyi jis pou
frape ego nou, zafè si popilasyion an, ozabwa, mal de parèt nou an pi fô ke tout
yon peyi. Se nan repiblik de banana sèlman ou ka temwen de pouriti konsa. Demokrasi pa nou an se zouti pou nou maspinen
popilasyion an, sèvi avek mank de savwa li, pou nou fè kapital sou do li. Si
sete peyi nou te wè, nou tap rasanble nou dèyè prezidan peyi ya, ankadre
politik li yo e travay pou yo ateri kom sa dwa, men se batay nou ap batay
anpeche li arive konstwi anyen pandan yon popilasyion ap vejete, ban-n san
konsians.
Se avek degou e mepri pou ap
gade yon Senatè de yon Repiblik devan yon popîlasyion ke lap ensite vè la
violans, sa’a li dwe rantre nan liv rekô
guiness. Komèsan ki ap monte pri manje sou soulve pèp, politisyien ki
gen gang kriminèl kom zouti pou ateri politik aferis yo, a la wè pou ti peyi sa
wè, a la zantray ki pou kôde avan soley leve sou malere, politik a la traka pou ti peyi sa’a.
Ayiti, chak paj nan
liv istwa l, pi sal yon aprè lot. Konbyen zantray ki pou kôde, konbyen san ki pou
koule, konbyen kadav pou yo konte, konbyen jenerasyon ki pou pèdi avan soley leve sou Ayiti.
Si nou tap pran ekzanp sou lot
peyi ki ap mache, nou ta konpran se tèt ansam sèlman ki pou soti peyi nou nan labou. Nou pati nou
wè, nou wè e nou konnen koman yon peyi dwe mache, se pa yon sèl moun ki ka
mennen yon peyi, se nou tout ki dwe mete nou ansam, nan lanmou pou peyi ya e nan
tolerans yon pou lot, sèl objektif la dwe peyi ya.
Nou mechan,
wi nou mechan , nou mechan, nou pa gen mizerikod, nou ap byen viv e nou ap goumen ak tout fôs nou pou bare chemen pou popilasyon an vanse. Lè yon
manman ou byen yon papa gen pitit li ki couche malad se chemen gerizon yo
chache pou bay ti moun nan la vi, se pa
goumen yo goumen sou ki medikamen pou pitit la pran pandan li an agoni, se tèt
ansam yo mete pou yo sovel. Gade nou byen, gade nou nan mirwa, ki sa nou ap
fè la kounye ya, pandan pitit nou an ap peri
Déjà nou touye papa
endepandans lan, Dessalines, ki te ban
ou bout tè sa’a, ke nou aplike nou kraze'l, demoli'l ak dan nou. Nou vil, nou pa gen anyen nan trip nou. Mwen
ap di'l e mwen pap bouke repete'l, demokrasi ke
popilasyon an bezwen pou li viv byen nan eta de dwa e nan respè yon pou lot
la, li pap ka etabli tan e o si lontan, ke edikasyion popilasyion pa fèt komanse nan tèt rive anba.
Koman pou yon Senatè nan yon micro yon
radyo, fè ap pale de Prezidan'l, e l'ap
trete l de moun fou, pou li pa resevwa yon manda pou difamasyon e y'ap pale
de demokrasi. Yo ap pale de yon bagay ke yo pa menm konnen fos li menm, oubyen
demokrasi ya, li pou lot yo, pa pou yo menm. Ignorans
ak prejije soti pou kraze peyi ya.
ASE! Se kri abitan nan môn yo, sa yo kite, nan aryè peyi
ya, ki san dlo, san kouran, san swen
santé, ki di ase peyi ya pap kraze.
Ayiti se zafè nou tout li ye e
se ansanm nou ka sove'l.
Patriotikman Nyrvah Florens
Bruno
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