600.00.00 dollars US, c'est la somme disposée pour mettre fin au jour de notre président Monsieur Michel Martelly, a déclaré le Sénateur Edwin Zenny, sur les ondes de Signal FM ce matin.
Les auteurs intellectuels doivent être condamnés.
Quand nous n'avons pas la faculté de reconnaitre ce qui est mal et ce qui est bien, on agit par instinct de survie, ainsi, la marge entre humain et animal est très mince
Nous sommes devenus si barbare, nous acceptons l'impensable. Accepter je dis bien, car il devrait avoir écho et en plus un rugissement de colère courant sur tout le territoire. Ce laxisme traduit l'état d'âme de la nation.
En attaquant le Président Michel Joseph Martelly dans la situation précaire qu'est notre territoire, on attaque la stabilité du pays, ce qui est, à mon humble avis un crime de haute trahison envers la nation.
La machine destructive n'aura pas de limite tant et aussi longtemps que tous ses composantes ne se retrouveront pas après des grillages de fers.
Beaucoup de nos frères et sœurs non plus l'âme haïtienne.
L'individualisme fait rage et détruit tout ce qu'il y a de positif chez l'être haïtien. Comment arriverons-nous à consolider la nation si la nation est dépossédée de son âme. L'essence d'une nation est sa sensibilité collective distincte et c'est par cette sensibilité qu'elle se caractérise.
Faute de dirigeants notre culture est folklorique. Nous sommes devenus un peuple acculturé.
Ceux qui prétendent travailler au bien-être de la nation ne sont pas sensibles à leur sort. Si l'âme haïtienne était au rendez-vous, Haïti ne serait jamais aussi méprisé avec plus de 80% d'analphabètes.
Cette masse populaire gardée bestialement, est totalement assujettit aux désidératas de ceux, qui leur volent leur vie, elle ne se rend même pas compte.
Depuis 1804 leur destin est le même. <<vivre sans espoir et comme une machine qu'garantissant la richesse d'une minorité.
Haïti a connu des gouvernants certes : bien, médiocre ou mauvais. Aucun n'a su unifié la nation. Ses dirigeants l'on morcelée davantage, souvent avec une certaine arrogance, en se servant de la masse non éclairée, qui se sent gratifier qu'on lui reconnaisse par son prénom. Il n'y a pas de différence du petit esclave de maison << RESTAVEK>> Il passe une bonne journée quand son patron l'appelle chéri et est prêt à tout pour lui faire plaisir tout cela est le pain de l'ignorance.
Patriotiquement Nyrvah Florens Bruno
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire