dimanche 30 novembre 2014

VERITAB SLOGAN DWE VIV LANACHI. Manifestasyon pasifik AYITI, 22 novanm 2014. .

VERITAB SLOGAN DWE VIV LANACHI. 
Manifestasyon pasifik AYITI,  22 novanm 2014. .

Mwen pat janm panse Ayiti ta tounen viv bagay sa yo anko. Pa gen anken tras lanmou pou Ayiti nan kraze yon peyi ki konen deja tout lò mizè li. ki lè ke yo va panse pou sove jèn yo ak jenerasyon kap vini yo. Ki lè yo va wè yon lò imaj pou Ayiti. Ki lè pou manipilatè yo di aba kraze peyi an konstwi peyi.
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                                       La démocratie en Haïti, un canular

Men sa lavalas yo fe jodi a.!! men li.!! yo met dife nan machin yon ti malere. 
yo ralel mete ate yo fout dife ladanl yon jounalis RCH2000 tap pran kek information sou incendi sa yo fout li plizye kalot. poukisa la. se ak sa nou abitye bann san manman san konsyans.

Un journaliste de RCH2000 a été giflé par
des manifestants de #MOPOD #
LAVALAS #MINUSTAH pour avoir relaté
des informations concernant l'incendie
criminelle d'un Tap-Tap à ClercineLa démocratie n'est pas instantanée à aucun coin sur la planète terre, vouloir imposer la démocratie en Haïti, sans préalablement éduquer la société haïtienne de ce qu'est un régime démocratique, est comparable à une bombe à retardement.

La démocratie à ses lignes directives : le respect des principes établis; le respect des droits de l'autre; le respect des biens d'autrui; le respect mutuel; le respect des prescrits de la loi et les devoirs et responsabilités de chaque citoyen.

Il n'y a pas que les élections, qui traduit une société est démocratique, c'est tout un ensemble de configuration, qui le formule.

Les sociétés démocratiques ont mis des barèmes à ce que la démocratie soit la boussole de leur société. Ils ont mis un contrôle sur l'économie des familles démunies, dans une société démocratique les besoins primaires de la société, sont essentiels pour son équilibre.

La politique de l'autruche est en train de nous assassiner, la non-faisabilité de l'établissement de la démocratie vous grève les yeux, mais, nous continuions comme un paon à leurrer la population de foutaise <<société démocratique>>
Il y a des prés-- requis pour la construction d'un État démocratique, en Haïti malheureusement ce n'est pas le cas.
Nous prônons la démocratie et tout compte fait, nous vivons dans une société qui frise l'anarchie.

Ce que nous prenons pour un acquis démocratique, est une liberté de profaner librement à tort ou à raison sur n'importe qui. Dans une société la diffamation à un prix, le saviez-vous?

Pour sortir Haïti dans ce bourbier il faut au préalable cesser de se mentir et prendre le taureau par les cornes, chose que nous sommes incapables de faire, vu la division qui nous ronge comme un cancer. Ce déchirement entre frères, finira par avoir raison de nous.
Notre aveuglement se dresse comme un bouclier et réfute tout changement si nous refusons de freiner cette hémorragie il n’y aura que l'ombre de notre Haïti dans les années à venir.

Dans une société démocratique personne n'est au-dessus des lois, est-ce le cas chez nous? Celui qui se dit la démocratie même, cherche refuge sur les étals de l'anarchie, une société truquée de bluffeurs.

Dans une société où les ouï-dire font écho dans des medias, l'abime n'est pas trop loin.

C'est par la socialisation que la démocratie prendra forme, pour cela il faut rentrer d'emblée dans les écoles une formation intensive du savoir-vivre et des conséquences de non-respect des normes.

Dans toutes les institutions étatiques ou privées les employés qui sont en contact avec la population doivent prendre des cours adaptés au service de la clientèle et aucun écart de conduite ne doit être toléré.

Tout acte de violence doit être sanctionné sans équivoque.

La construction d'un État de droit en Haïti, dépendra de la volonté et de la détermination de tous les secteurs de la vie nationale.

Cessons de rêver à une Haïti nouvelle, rentrons dans le concret et bâtissons ensemble l'Haïti de demain.

Nyrvah Florens Bruno,
Soldat pour une nouvelle Haïti
 
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BAY PEYI A YON TI CHANS



mercredi 26 novembre 2014

Mwen Nyrvah Florens Bruno, TET KALE

Mwen  Nyrvah Florens Bruno, TET KALE

Mwen fè politik aktif pou yon sèl chèf,  li rele Michel Joseph Martelly, president Repiblik d’Ayti.  


Mwen toujou di l e mwen ap repete l anko, prezidan Martelly se li menm sèl, ki sisite lakay mwen, enterè pou mwen mache nan tout peyi ya, pale de travay li ap fè e volonte l pou Ayiti chanje.

Prezidan Martelly otantik, li sensè, li enspire konfians. Map kontinue fè politik ak yon lot moun,  si sèlman Prezidan pam nan, ta banm yon lot direksyon an atandan Martelly TET KALE.

Politik aktif la, se  bat teren yan
Politik salon an se diskite sou koze peyi a nan salon lakay mwen.

La’a mwen sou mod aktif

Pouvwa’a pagen lajan se opozisyon an ki gen lajan, se pou rezon sa’a,  nou pa deranje,  monte sou do bourik paske se volonte e detèminasyon ki gide nou.

Nou se solda, nou rekonèt yon general lè li an fas nou.


mercredi 19 novembre 2014

QUAND LA POLITIQUE FAIT ALLIANCE AVEC INTÉRỀT


QUAND LA POLITIQUE FAIT ALLIANCE AVEC  INTÉRỀT
Ma décision de supporter le candidat Michel Joseph Martelly,  le président actuel d'Haïti est et demeure. Au début pour moi, c'était une mascarade, quoique j'aie eu l'occasion de l'entendre parler de son pays et de tous les maux et les malaises qu'il ressentait devant le constant d'une Haïti agenouillé. Je m'étais dit la population irait plutôt vers des vagabonds cravatés.
Erreur, tout comme moi la population avait vu juste, ce Monsieur est armé de volonté et de courage,  sa détermination  de changer l’image du pays et la condition de vie de ses patriotes n’est pas une farce.
Malheureusement le pouvoir est un appât qui attire  tous genres d’animaux.  Dès le début de son mandat,  le Président a   fait face à la réalité de la politique purement haïtienne, un gâteau à partager, des négociations à n’en plus finir. On se souvient de cette longue période, sans un chef de gouvernement…. Les intérêts particuliers passent avant l’intérêt de la collectivité.
En fait, le chef du gouvernement que les parlementaires ont accepté ne répondait pas aux prescrits de la constitution mais, il a eu quorum. Ce qu'il il faut comprendre dans cette mascarade, les revendications des parlementaires ont été honorées.

Plus le diable en a et plus il veut en avoir. Aujourd'hui c'est la tête du Premier ministre Laurent Salvador Lamothe, qui est mise au jeu,  malgré tout ce qu'ils ont consenti à faire, lui et ses ministres, afin de changer l'image, d'Haïti à côté du président Martelly. Les réalisations sont palpables, mais malheureusement cela n'a aucune valeur aux yeux des politiciens.
Vous êtes si pressés d'avoir votre tour, sur la chaise bourrée.
Est-ce ainsi qu'on aura l'Haïti de demain. La vie d'une population n'est pas un jeu de hasard.
Messieurs les politiciens descendez sur le dos de vos chevaux et regarder Haïti en face, vous êtes en train de sacrifier ce pays, de ruiner la génération future.
Ne nous demandons pas pourquoi, Haïti est ainsi aujourd'hui, l'évidence est là, nous n'avons pas grandi.  Ce serait vraiment triste que nos enfants nous succèdent, dans les mêmes conditions, UNE REPUBLIQUE DE BANANE.
À quoi a servi la constitution dans le choix du Premier ministre Gary Conille? Idem  pour le Chef du gouvernement Monsieur Laurent Salvador Lamothe. À vous de juger
Le chantage et des négociations à des fins pécuniaires, sont-ils des articles de la constitution?
Si, les parlementaires avaient respecté leur attribution, la fidélité aux prescrits de la loi, nous aurons eu, une autre gouvernance.
Quand on rentre dans un cercle vicieux en politique, on s'en sort plus.
Depuis l'ascension du président Martelly au pouvoir, de petites crises intestinales entravent la bonne marche administrative du pays, beaucoup de gens proches du pouvoir de l'Exécutif agissent en solo et tirent les rênes du pouvoir à leur intérêt. L'exécutif est devenu un pion de service, On n'a l'impression qu'Il est gardé dans un Tour et les souris sautillent.
Ce vieil adage prend tout son sens dans l'administration De Michel Joseph Martelly : Dieu protège-moi de mes amis. Mes ennemis je m'en charge.
On ne marche pas bien loin avec les pieds nus, Monsieur le Président
La politique n'est pas une science exacte, en ce sens vous devez avoir vos deux pieds sur la terre ferme. Il y a une grande différente entre la manipulation du pouvoir et la manipulation de la politique.
Je vous réitère tout mon appui à la cause du pays, Monsieur le Président.

Que Dieu protège notre Haïti
Nyrvah Florens bruno
Coordonnateur  général
Mouvement SoldaAyiti Ayiti Solda



mardi 18 novembre 2014

Haïti, une terre souillée par ses entrailles



Haïti, (terre haute), avant l'arrivée des noirs de l'Afrique, vivaient des Indiens, ces derniers se sont battus afin de rester le maitre de leur territoire et de vivre en homme libre, ils furent exterminés.

Nous avons vaincu les colons, nous avons gagné notre liberté, nous sommes encore à construire de la nation haïtienne.

En 1441 marque le début des traites de noirs. Des millions de fils et de fille d'Afrique ont été déportés en Amérique et mis à la servitude par l'Occident.
 
Cette devise l'union fait la force, a traversé cette population indigène une fois et cette union a permis que les déportés d'Afrique retrouvent leur liberté, par la Bataille. Le 18 novembre 1803, le Général Dessalines avait ordonné de prendre le fort de Vertières

Depuis la proclamation de notre bicolore, le 1er janvier 1804, la guerre de la détention du pouvoir ronge le jeune pays et aujourd'hui l'abrutit. Il est l'endroit le plus pauvre de l'Amérique. Quand-est-ce que nos hommes et nos femmes se mettront ensemble encore, pour bâtir la NATION HAÏTIENNE.

Par notre division nous avons ramené les mêmes colonisateurs, nos bourreaux   à prendre notre contrôle, ceux à qui,  nous avons arraché notre liberté.  

Quel nationaliste serait fier aujourd’hui, le 18 novembre,  de commémorer cette journée, la plus grande journée de son  histoire de peuple, en présence des occupants. 

Le comble de l’histoire l’occupant n’est pas venu de lui-même, on a sollicité sa présence et du coup pour bien nous singulariser de notre incapacité, sa première réaction a été d’écraser l’armée indigène, notre première institution, celle qui donnait la saveur d’historicité à notre peuple.
Nos professeurs sont piètres ont les changes, mais on ne brise pas nos écoles.

 Franklin D Roosevelt, declaration sur Haiti

"Il faut constamment soulever les va-nu-pieds contre les gens à chaussures et mettre les gens à chaussures en état de s'entre-déchirer les uns les autres, c'est la seule façon pour nous d'avoir une prédominance continue sur ce pays de nègres qui a conquis son indépendance par les armes. Ce qui est un mauvais exemple pour les 28 millions de noirs d'Amérique."

DÉCLARATION SUR HAITI
Franklin Delano Roosevelt
Président des Etats-Unis.

Nyrvah Florens Bruno.
Coordonnatrice du mouvement Solda Ayiti… Ayiti Solda





       

samedi 8 novembre 2014

La construction de notre Haïti, passe par la volonté de chaque Haïtien. NOU TOUT KONTE



Il faudra prendre des mesures draconiennes et anti populaires afin mettre Haïti sur ses rails. Malheureusement en empruntant ce chemin des opposants et les analphabètes fonctionnels assoiffés du pouvoir, vont se servir de l'ignorance de la grande masse, en les manipulant afin de les soulever contre le pouvoir.

La politique de la terre est primordiale pour sortir le pays dans l’enclave qu’il est.
Nous devons travailler à l'autosuffisance alimentaire, ce qui nous permettra de pallier l'exode des dollars. Les milliards de dollars de la diaspora, ne font que transiter. La dépendance alimentaire de la République voisine, est une gifle.

Sur taxer les produits de luxe, supporter les produits locaux.

Encadrer les PME et faciliter davantage la création de ces derniers
Si on mène de front cette politique, il est certain qu'Haïti changera de blason.

https://www.facebook.com/photo.php?fbid=10203833801020338&set=a.1498063126423.2070690.1079471644&type=1&theater

dimanche 2 novembre 2014

Internationales Joseph Michel Martelly Par Sophie Malibeaux Diffusion : dimanche 2 novembre 2014

TOUT SIMPLEMENT BRAVO EXCELLENCE

Joseph Michel Martelly
Le président haïtien Michel Martelly en 2012. © RFI/Amélie Baron
Joseph Michel Martelly, président de la République d'Haïti est l'invité d'«Internationales», l'émission TV5MONDE - RFI - Le Monde. Joseph Michel Martelly dirige, depuis 3 ans, l'un des Etats les plus pauvres et les plus fragiles au monde, où la corruption reste un mal endémique.
Voici bientôt 5 ans, Haïti était dévastée par un séisme qui aurait tué près de 300 000 personnes. La solidarité internationale n'est guère parvenue à changer le quotidien des Haïtiens, encore fait de ruines et de tentes.
De plus, Joseph Michel Martelly affronte une forte contestation politique, les opposants lui reprochant de ne pas tenir les élections législatives.
Nous interrogeons Joseph Michel Martelly sur la situation sociale, politique et économique d'Haïti, et sur sa quête d'une nouvelle aide internationale.
Nous n'oublierons pas l'hommage qu'il vient rendre en France à Toussaint Louverture, le libérateur d'Haïti, voici 210 ans.
Joseph Michel Martelly répond aux questions de Sophie Malibeaux (RFI), de Paulo Paranagua (Le Monde), et de Philippe Dessaint (TV5Monde).
https://www.youtube.com/watch?v=V5bhwyxzbok#t=76