dimanche 14 septembre 2014

Une gouvernance démocratique impliquerait des institutions modernes, une opposition éclairée et le respect des normes étatiques.





Une gouvernance démocratique impliquerait des institutions modernes, une opposition éclairée et le respect des normes étatiques.
Les outils modernes sont accessibles et pourtant sont inoccupés, la question est POURQUOI?
La modernisation de nos institutions, résulte dans la transparence pour la bonne marche de la construction de la démocratie et de l'envol du pays.
Ce qu'il faut comprendre, la renaissance des institutions, mettra court à la corruption et limiteraient les anti- nationalistes qui dilapident les caisses de l'État L'administration Martelly-Lamothe, a une volonté de changement. Pourquoi le système est-il réfractaire à ce changement?
Les antagonistes, les corrompus ont des intérêts à garder le système archaïque. Cette obscurité est nécessaire pour toutes les opérations mafieuses.
Pourquoi la correspondance informatisée légale entre les institutions, est si difficile à être opérationnelle
Dans des sociétés avancées le système informatisé est le point central tout est informatisé, ainsi, le contrôle des biens et des finances de l'État sont sous le regard de tous et chacun.
Le point culminant est que cette visibilité empêcherait : le détournement de fonds, des gracieusetés, le chantage des négociations mafieuses, tout se verrait.
La nonchalance des institutions, les longues procédures d'attentes pour l'obtention d'un document, la culture paprassetique sont des outils qui peuvent être contrôlés et manipulés à des fins liées au drainage de l'économie, voilà pourquoi il est si difficile d'implanter comme de droit, un vrai système informatique, liant toutes les institutions et abolir cette histoire de trimballer d'un ministère à un autre pour l'obtention d'un document.
Du système, beaucoup de parlementaires haïtiens, se servent de leur mandat comme outils de chantage, c'est scandaleux et indigne ce qui fait d'eux des opposants de l'avancement du pays.
Aussi longtemps que cela perdure, nous aurons des parlementaires (agents de développements) de deux sous, car le principal du législatif sera désabusé au péril de la bonne marche des institutions de l'État mère.
Les hommes et les femmes de l'État servent l'État, mais ne se servent pas de l'État.
C’est ce niveau de société qu’il faut atteindre pour bâtir Haïti. La collectivité doit être le point de mire, l’individualisme prime trop il faut cesser court à ceci.
Patriotiquement votre soldat Nyrvah Florens BRUNO
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